PLAIDOYER

CE DONT NOUS AVONS
BESOIN…
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Ce dont nous avons besoin en ce siècle,
C’est de femmes….
De femmes qui ne se vendent pas,
De femmes sûres, vraies jusqu’ au fond du cœur,
De femmes qui craignent Dieu et haïssent la cupidité,
De femmes dont la conscience est invariable comme la boussole,
De femmes qui défendent la justice, même si le ciel et la terre tremblent,
De femmes qui disent la vérité en regardant le monde et l’enfer en face,
De femmes qui ne se vantent, ni ne se dégoûtent de rien,
De femmes qui ne soient ni lâches, ni fanfaronnes,
De femmes animées d’un courage tranquille,
De femmes dont la vie spirituelle est
calme, profonde et puissante comme un grand fleuve,
De femmes jalouses de l’honneur de DIEU,
et qui ne font aucun cas des applaudissement,
De femmes que les limites sectaires n’arrêtent pas,
De femmes dont la force ne faiblisse pas
avant que le jugement soit établi sur la terre,
De femmes qui connaissent leur mission
et qui la remplissent,
De femmes qui comprennent leur message
et le délivrent,
De femmes qui soient à leurs affaires,
De femmes qui ne soient ni trop
paresseuses pour travailler, ni trop orgueilleuses
Pour rester dans la pauvreté,
De femmes qui savent en qui elles croient,
De femmes fortes d’une force divine, sages de la sagesse d’en haut,
Et aimant d’un amour divin, amour qui se donne, amour qui ne calcule pas,


EN UN MOT : DES FEMMES DE DIEU !

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LECTURE POUR CHAQUE JOUR

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vendredi 29 mars 2013

HISTOIRE DE PÂQUES....IL EST RESSUSCITE !


 

"Il n'est pas ici ; il est ressuscité "

Mt 28,1-10
Jérusalem est endormie. Au petit jour, quelques femmes se  hasardent  hors de la ville et se dirigent vers le tombeau de Jésus. En bonnes juives, elles sont restées chez elle pendant tout le sabbat, mais le souvenir du crucifié les ramène maintenant à l'endroit où il a été déposé.
Personne ne sait qu'elles sont là ; et elles ne savent qu'une chose, c'est que tout est fini ... De pauvres femmes, seules, mais qui ne peuvent pas oublier ! Elles viennent vers un mort, et voilà que Dieu prend l'initiative de leur révéler la victoire de la vie. La pierre est roulée, le tombeau est ouvert, et le messager de Dieu, lumineux, éclatant, s'est assis sur la pierre pour signifier la victoire définitive de Dieu sur la prison de la mort.
Et Dieu parle par ses envoyés : "Pourquoi cherchez- vous le vivant parmi les morts ? Il n'est pas ici ; il est ressuscité. Je sais que vous cherchez Jésus, le crucifié : il n'est pas ici, il est ressuscité, comme il l'a dit". C'est fait, c'est déjà accompli quand les envoyés parlent. Personne n'a vu le moment de la résurrection, personne ne pourrait le décrire, ni ces femmes, ni personne d'autre. La résurrection est un acte Divin ; Dieu le révèle quand il l'a accompli ; et le tombeau vide atteste que Dieu a dit vrai. "Venez voir où il gisait".
Puis aussitôt le messager transmet aux femmes leur mission :"Vite, allez dire à ses disciples qu'il est ressuscité d'entre les morts ; voici qu'il vous précède en Galilée ; c'est là que vous le verrez". "Vous le verrez", dit l'ange, et de fait elles ne l'ont pas encore vu, lui, le ressuscité. Mais déjà elles croient ; elles croient, puisqu'elles courent. Et Jésus lui-même vient au-devant de leur foi. Le voici devant elles :"Je vous salue !". Et les deux femmes se prosternent. Jésus alors redit seulement le message que Dieu avait confié à l'ange : "Allez dire à mes frères de se rendre en Galilée ; c'est là qu'ils  me verront".

Ainsi, au matin de Pâques, Jésus se révèle comme vivant, uniquement à ses intimes : grâce aux femmes qui ont cru, il va reconstituer autour de lui la petite communauté de frères et de sœurs qui l'entourait depuis ses débuts en Galilée. C'est à cette poignée  de femmes et d'hommes   qu'Il va confier le message de sa victoire sur la mort, pour le crier au monde.

C'est  ainsi que tout est reparti, simplement, divinement, au petit jour, lorsque deux femmes essoufflées ont rejoint dans la ville les disciples de Jésus. Elles étaient remplies de crainte et de joie ; de crainte, parce qu'elles venaient de vivre une rencontre avec la puissance de Dieu ; de joie, parce que Jésus lui-même leur avait dit : "N'ayez pas peur !"

"Vous, soyez sans crainte". Ce fut la première parole de Jésus ressuscité, et Jésus la redit au monde entier en ce jour anniversaire de sa Pâques, et Il te la redit à toi qui lis ces lignes. "Sois sans crainte !"
Nous aurions pourtant, tant de raisons de craindre !

Partout où la mort paraît, on la croit victorieuse, mais elle s'efface là où le Christ est vivant.

Partout des humains souffrent, des innocents meurent, des populations entières sont jetées sur les routes ; partout la haine crie victoire, la vérité doit se cacher dans les cœurs, et même des populations entières sont jetées sur les routes ; partout la haine crie victoire, la vérité doit se cacher dans les cœurs, et même l'Église de Jésus vit parfois des heures sombres où son espérance fléchit.

Notre joie de Pâques ne peut oublier toutes ses tristesses, pas plus que nos misères personnelles, et pourtant Jésus ressuscité nous redit d'avance, d'avancer avec confiance, parce que, dans le plan de Dieu, ce n'est pas la mort qui aura le dernier mot.

 La femme chrétienne, ne fanfaronne pas aux avant-postes, comme si sa foi lui soufflait des solutions miracles ou l'immunisait contre la douleur ; mais elle avance parmi ses frères humains, portant dans un vase d'argile une lumière et une certitude qu'elle  ne veut pas garder pour elle :

"Dieu a tant aimé le monde qu'il a donné son Fils unique",

et ce Fils qui a pris sur lui toutes les souffrances et toutes les morts du monde, désormais nous attend dans la gloire du Père.

«  Il est ressuscité, comme il l'a dit. » Alléluia !

Bonne Fête de Pâques et soyez bénies.

 (texte repris et adapté du net)

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