PLAIDOYER

CE DONT NOUS AVONS
BESOIN…
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Ce dont nous avons besoin en ce siècle,
C’est de femmes….
De femmes qui ne se vendent pas,
De femmes sûres, vraies jusqu’ au fond du cœur,
De femmes qui craignent Dieu et haïssent la cupidité,
De femmes dont la conscience est invariable comme la boussole,
De femmes qui défendent la justice, même si le ciel et la terre tremblent,
De femmes qui disent la vérité en regardant le monde et l’enfer en face,
De femmes qui ne se vantent, ni ne se dégoûtent de rien,
De femmes qui ne soient ni lâches, ni fanfaronnes,
De femmes animées d’un courage tranquille,
De femmes dont la vie spirituelle est
calme, profonde et puissante comme un grand fleuve,
De femmes jalouses de l’honneur de DIEU,
et qui ne font aucun cas des applaudissement,
De femmes que les limites sectaires n’arrêtent pas,
De femmes dont la force ne faiblisse pas
avant que le jugement soit établi sur la terre,
De femmes qui connaissent leur mission
et qui la remplissent,
De femmes qui comprennent leur message
et le délivrent,
De femmes qui soient à leurs affaires,
De femmes qui ne soient ni trop
paresseuses pour travailler, ni trop orgueilleuses
Pour rester dans la pauvreté,
De femmes qui savent en qui elles croient,
De femmes fortes d’une force divine, sages de la sagesse d’en haut,
Et aimant d’un amour divin, amour qui se donne, amour qui ne calcule pas,


EN UN MOT : DES FEMMES DE DIEU !

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LECTURE POUR CHAQUE JOUR

LECTURE POUR CHAQUE JOUR
LECTURE POUR CHAQUE JOUR

CALENDRIER BIBLIQUE " LA BONNE SEMENCE

En cliquant sur le lien ci-dessous en bleu clair, vous trouverez un calendrier avec une réflexion pour chaque jour... bonne lecture.


mardi 30 novembre 2010

"Fortifie-toi et prends courage"... et attends !

"Vous tous qui avez votre attente en l'Éternel,

demeurez fermes, et Il fortifiera votre cœur."  Psaume 31:25 VO.

Dans la vie fiévreuse de ce monde
qui nous entraîne dans le courant impétueux de ses activités diverses,
manuelles, intellectuelles ou religieuses,
Dieu  S'adresse à ceux qui écoutent "ce que l'Esprit dit aux Églises"  :
Attendez, attendez Dieu !
Sachez posséder "vos âmes par votre patience".  Luc 21:19 V.O.

Serviteurs de Dieu, "pressés de toute manière...",
ne précipitez aucune décision;
attendez encore, dans la communion de votre Seigneur,
Son conseil et Sa direction... Il vient, Il interviendra.


Attendre !
Dieu seul peut nous donner la compréhension de cette attente.
Attendre signifie être actif;
ce mot n'implique ni passivité, ni nonchalance;
ce n'est pas chercher une échappatoire devant les responsabilités.
Attendre !
c'est l'expression d'une pleine et active communion avec Dieu,
c'est la soumission filiale à Sa volonté bénie.

Attendre, c'est servirServir, c'est attendre.
Nous avons besoin de discipline
pour savoir attendre le mouvement de la "colonne de nuée",
attendre que Dieu fasse connaître Sa volonté,
comme le firent les disciples
lorsque le Saint-Esprit leur défendit de continuer leur voyage
et changea leurs plans.  Actes 16:6-7.

Dans l'attente, votre communion avec Dieu s'approfondit;
Il vous prépare, vous mûrit et vous arme pour le combat dans lequel Il va vous conduire...

Le Tout-Puissant va intervenir, diviser le Jourdain en deux,
faire tomber les murailles de Jéricho,
déjouer les plans de l'ennemi et vous conduire dans le train de Son triomphe.

"Fortifie-toi et prends courage"... et attends !
C'est là le secret et la condition des plus grands déclenchements de Sa grâce et de Sa gloire.

Les vies qui ont été les plus fructueuses
et sur lesquelles Dieu a manifesté Son approbation,
sont celles qui savent attendre.

Que de défaites subies en plein champ de bataille
parce qu'on n'a pas su attendre l'heure stratégique de Dieu.

Que de glorieuses victoires remportées

après avoir attendu que Dieu ait donné l'ordre
qui fut le signal de la victoire !

** Les véritables soldats de Dieu sont ceux qui savent attendre,
    se laisser revêtir et préparer, dans le lieu secret de Sa présence. **

Manne du Matin de H E Alexander

vendredi 26 novembre 2010

UN CRI DU COEUR



UN CRI DU COEUR

Je crois que l'amour plein de grâce de Dieu est révélé en réponse à un
cri du coeur - pas n'importe quel cri, mais un humble cri demandant la
délivrance. La Bible a beaucoup à dire à propos de ce cri qui vient du coeur
: “Dans ma détresse, j'ai invoqué l'Éternel, J'ai crié à mon Dieu ; De
son palais, il a entendu ma voix, Et mon cri est parvenu devant lui à ses
oreilles.” (Psaumes 18:6)

« Bien souvent, l'Éternel les délivra, mais ils ne pensaient qu'à se
révolter, et s'obstinaient dans leur faute. Pourtant, il considéra leur
détresse quand il entendit leurs cris suppliants. » (Psaumes 106:43-44)

Tu peux être sûr qu'un cri adressé à Dieu aura toujours pour réponse un
mot de guérison venant du Ciel. Personne n'est trop mauvais et sans espoir
s'il recherche Dieu dans l'humilité. L'histoire du mauvais roi Manassé le
prouve! La Bible dit qu'il fut un des pires rois d'Israël. “Il fit ce que
l'Éternel considère comme mal ... Il rebâtit les hauts-lieux que son père
Ezéchias avait détruits, il érigea des autels à Baal, ... et il se
prosterna devant tous les astres du ciel ; et leur rendit un culte... Il alla
même jusqu'à brûler son fils pour l'offrir en sacrifice. Il consultait les
augures et les devins. Il installa des gens qui évoquaient les morts et qui
prédisaient l'avenir. Il multiplia les actes que l'Éternel considère comme
mauvais.” (2Rois 21:2-6)

“Mais Manassé égara le peuple de Juda et les habitants de Jérusalem, de
sorte qu'ils firent encore plus de mal que les nations que l'Éternel avait
détruites au profit des Israélites. L'Éternel adressa des avertissements à
Manassé et à son peuple, mais ils n'écoutèrent pas” (2Chroniques 33:9-10)

Y a-t-il de l'espoir pour quelqu'un qui s'est autant éloigné de Dieu,
d'autant possédé par le mal et l'obscurité ? Oui, s'il s'humilie lui-même,
confesse et croit en la victoire de Christ à la Croix. Manassé se retrouva
prisonnier dans un pays étranger, lié par des chaînes. Qu'elle image
frappante des liens du péché. Mais dans sa détresse, il cria à Dieu, et
Dieu l'entendit, lui pardonna et le restaura.

“Lorsqu'il fut dans la détresse, il implora l'Éternel son Dieu et
s’humilia profondément devant le Dieu de ses ancêtres. Il le pria, et
l'Éternel l'exauça, il écouta sa supplication et le fit revenir à
Jérusalem dans son royaume. Ainsi Manassé comprit que l'Éternel seul est
Dieu.” (2Chroniques 33:12-13)

“Il fit disparaître du Temple de l'Éternel les dieux étrangers et la
statue, ainsi que les autels qu'il avait édifiés sur la colline du Temple et
dans Jérusalem. Et on les jeta hors de la ville.”(2Chroniques 33:15)

Cette parole d'espoir, de pardon, de grâce, d'amour et de restauration est
pour toi! Tiens compte de sa Parole, repens-toi, sois entier et marche avec le
Seigneur! Il n'y a pas de péché qui ne puisse être pardonné – personne
n'est trop bas pour être guéri et restauré.


David Wilkerson

dimanche 14 novembre 2010

PASSER DU TEMPS AVEC DIEU


Passer quotidiennement du temps avec Dieu est l’une des habitudes spirituelles des chrétiens efficaces. Nous cultivons notre forme spirituelle en mettant chaque jour du temps à part pour lire la Bible et prier.
Nous menons souvent notre vie à un rythme trépidant. Nous avons besoin de ralentir pour recevoir des directives de Dieu.
Dans quel but ? Pour recevoir une direction de Dieu.
"Ô Éternel, montre-moi le chemin, enseigne-moi quelle est la voie que tu veux que je suive" (Psaume 25.4).

Nous pouvons parfois être tellement débordés que nous oublions dans quelle direction nous avançons. Un peu comme le pilote qui survolait le Pacifique pendant la Seconde Guerre mondiale et qui envoya ce message à sa base : "Je ne sais absolument pas où je vais. Je suis perdu. Mais je fais un temps record."

Nous menons souvent notre vie à un rythme trépidant. Nous avons besoin de ralentir pour recevoir des directives de Dieu. Cela implique que nous passions du temps avec lui quotidiennement : nous lui parlons dans la prière, nous le laissons nous parler au travers de sa Parole et nous sommes attentifs à sa direction.

Je peux affirmer honnêtement que chaque décision importante dans ma vie a été prise pendant un temps de recueillement devant Dieu.

Jésus est notre exemple, lui qui
"se retirait dans les déserts, et priait" (Luc 5.16).

Le temps du verbe dans ce verset indique que Jésus avait l’habitude de se retirer ; il puisait sa force dans le temps qu’il passait seul avec Dieu.

Jésus affirme que c’est en cultivant une relation profonde et intime avec lui que nous sommes fortifiés 
: "Si vous demeurez en moi, et que mes paroles demeurent en vous, demandez ce que vous voudrez, et cela vous sera accordé" (Jean 15.7).

Vous ne pouvez pas connaître Dieu si vous êtes constamment au milieu de la foule. C’est dans une rencontre seul à seul que vous apprenez à le découvrir.

Une action pour aujourd'hui

Peut être avez-vous négligé ce cœur à cœur journalier avec Dieu ? Alors, prenez la décision de vous arrêter pour vous recentrer à nouveau sur Dieu et sur sa Parole, afin d'entendre sa voix et de recevoir sa pensée pour votre vie. 

Rick Warren


mercredi 10 novembre 2010

Etre une femme "bien"...

Etre une femme "bien"...
A partir d'un texte de F. Baudin

Les versets 10 à 31 du  Proverbe 31, regroupés parfois sous le titre La femme de valeur nous brossent le portrait d'une femme exemplaire.

Ce portrait sous forme de poème demeure d’actualité, il traverse les siècles sans presque prendre une ride, tant il conserve sa fraîcheur et ses couleurs.

Il demeure pour nous une source précieuse d’enseignement sur une femme des temps bibliques… et d’aujourd’hui !



Dans un article écrit pour le S.E.L.,  Une femme « bien » ! *, Frédéric Baudin ( Association CEM : Culture - Environnement - Média) nous commente ce proverbe.

Nous avons choisi de partager avec vous le passage suivant :

La femme idéale et l’aide sociale

La femme chantée dans ce poème ne vit pas repliée sur elle-même.
Elle se soucie en priorité de sa famille, mais elle ne néglige pas pour autant les implications sociales de son travail.
L’apôtre Paul souligne ces priorités :
« Si quelqu’un n’a pas soin des siens, il est pire qu’un infidèle ! »
(1 Timothée 5. 8).
Mais il vante aussi les mérites de la femme qui met ses talents, ses dons matériels ou spirituels, au bénéfice des autres, dans l’Eglise en premier lieu, puis en dehors … (1 Timothée 5. 10)
La sagesse de la femme idéale nous est proposée comme un exemple à suivre :
le fruit de son travail lui permet non seulement de participer aux dépenses du foyer pour vivre, mais aussi de « tendre la main aux malheureux et d’être généreuse envers les pauvres ».

Les échos de ce texte dans le Nouveau Testament sont nombreux : la veuve pauvre donne de bon coeur ses maigres ressources pour le service du Temple :
  • Tabitha-Dorcas tisse des vêtements appréciés par la communauté de Jaffa, elle assiste les pauvres.
  • Priscille, aux côtés de son mari Aquilas qui fabrique des tentes (les vendait-elle ?), se montre attentive aux besoins de la petite « église » qui se réunit dans sa maison.

Elle est volontiers hospitalière
, notamment envers l’apôtre Paul qui séjourne dans son foyer.
Le rôle social de la femme idéale ne s’arrête pas aux « bonnes œuvres » : elle s’exprime avec sagesse et donne volontiers des conseils (v. 26).

Dans toute société, les femmes les plus âgées ont donné des conseils à leurs cadettes, sur tous les plans.
On imagine sans peine cette bonne épouse dispenser de bons conseils à la jeune mariée pour qu’elle lui emboîte le pas et travaille utilement, afin de nourrir sa famille, élever ses enfants et combler son mari (cf. Tite 2. 3-5).

D’après la tradition juive, la femme joue également un rôle religieux au sein de la famille : c’est elle qui instruit les enfants dans la foi et leur transmet les règles de vie conformes à la volonté de Dieu.

Enfin, cette femme n’est pas austère : on a le net sentiment qu’elle travaille en toute liberté, qu’elle sourit à la vie et rend heureux son mari (v. 12), ses enfants (v. 28) et les pauvres qu’elle secourt avec bienveillance.

Avec tant de dons et de vigueur, elle a toutes les raisons d’être optimiste et d’affronter l’avenir avec confiance !

"Elle ouvre ses mains au malheureux , et les tend à l'indigent." (Proverbes 31-20)

En partageant, par exemple avec une autre femme  qui n’a pas la possibilité d’avoir une vie si complète, si riche, une femme qui trouve tout juste de quoi nourrir ses enfants... nous devenons un peu plus « des femmes bien ».

C'est bon à savoir non ?
Bonne semaine !