HISTOIRE DE PÂQUES....IL EST RESSUSCITE !

 

"Il n'est pas ici ; il est ressuscité "

Mt 28,1-10

Jérusalem est endormie. Au petit jour, quelques femmes se  hasardent  hors de la ville et se dirigent vers le tombeau de Jésus. En bonnes juives, elles sont restées chez elle pendant tout le sabbat, mais le souvenir du crucifié les ramène maintenant à l'endroit où il a été déposé.
Personne ne sait qu'elles sont là ; et elles ne savent qu'une chose, c'est que tout est fini ... De pauvres femmes, seules, mais qui ne peuvent pas oublier ! Elles viennent vers un mort, et voilà que Dieu prend l'initiative de leur révéler la victoire de la vie. La pierre est roulée, le tombeau est ouvert, et le messager de Dieu, lumineux, éclatant, s'est assis sur la pierre pour signifier la victoire définitive de Dieu sur la prison de la mort.
Et Dieu parle par ses envoyés : "Pourquoi cherchez- vous le vivant parmi les morts ? Il n'est pas ici ; il est ressuscité. Je sais que vous cherchez Jésus, le crucifié : il n'est pas ici, il est ressuscité, comme il l'a dit". C'est fait, c'est déjà accompli quand les envoyés parlent. Personne n'a vu le moment de la résurrection, personne ne pourrait le décrire, ni ces femmes, ni personne d'autre. La résurrection est un acte Divin ; Dieu le révèle quand il l'a accompli ; et le tombeau vide atteste que Dieu a dit vrai. "Venez voir où il gisait".
Puis aussitôt le messager transmet aux femmes leur mission :"Vite, allez dire à ses disciples qu'il est ressuscité d'entre les morts ; voici qu'il vous précède en Galilée ; c'est là que vous le verrez". "Vous le verrez", dit l'ange, et de fait elles ne l'ont pas encore vu, lui, le ressuscité. Mais déjà elles croient ; elles croient, puisqu'elles courent. Et Jésus lui-même vient au-devant de leur foi. Le voici devant elles :"Je vous salue !". Et les deux femmes se prosternent. Jésus alors redit seulement le message que Dieu avait confié à l'ange : "Allez dire à mes frères de se rendre en Galilée ; c'est là qu'ils  me verront".

Ainsi, au matin de Pâques, Jésus se révèle comme vivant, uniquement à ses intimes : grâce aux femmes qui ont cru, il va reconstituer autour de lui la petite communauté de frères et de sœurs qui l'entourait depuis ses débuts en Galilée. C'est à cette poignée  de femmes et d'hommes   qu'Il va confier le message de sa victoire sur la mort, pour le crier au monde.

C'est  ainsi que tout est reparti, simplement, divinement, au petit jour, lorsque deux femmes essoufflées ont rejoint dans la ville les disciples de Jésus. Elles étaient remplies de crainte et de joie ; de crainte, parce qu'elles venaient de vivre une rencontre avec la puissance de Dieu ; de joie, parce que Jésus lui-même leur avait dit : "N'ayez pas peur !"

"Vous, soyez sans crainte". Ce fut la première parole de Jésus ressuscité, et Jésus la redit au monde entier en ce jour anniversaire de sa Pâques, et Il te la redit à toi qui lis ces lignes. "Sois sans crainte !"

Nous aurions pourtant, tant de raisons de craindre !

Partout où la mort paraît, on la croit victorieuse, mais elle s'efface là où le Christ est vivant.

Partout des humains souffrent, des innocents meurent, des populations entières sont jetées sur les routes ; partout la haine crie victoire, la vérité doit se cacher dans les cœurs, et même des populations entières sont jetées sur les routes ; partout la haine crie victoire, la vérité doit se cacher dans les cœurs, et même l'Église de Jésus vit parfois des heures sombres où son espérance fléchit.

Notre joie de Pâques ne peut oublier toutes ses tristesses, pas plus que nos misères personnelles, et pourtant Jésus ressuscité nous redit d'avance, d'avancer avec confiance, parce que, dans le plan de Dieu, ce n'est pas la mort qui aura le dernier mot.

 La femme chrétienne, ne fanfaronne pas aux avant-postes, comme si sa foi lui soufflait des solutions miracles ou l'immunisait contre la douleur ; mais elle avance parmi ses frères humains, portant dans un vase d'argile une lumière et une certitude qu'elle  ne veut pas garder pour elle :

"Dieu a tant aimé le monde qu'il a donné son Fils unique",

et ce Fils qui a pris sur lui toutes les souffrances et toutes les morts du monde, désormais nous attend dans la gloire du Père.

«  Il est ressuscité, comme il l'a dit. » Alléluia !

Bonne Fête de Pâques et soyez bénies.

 (texte repris et adapté du net)

C'est ce soir !

Nous vous rapellons si vous ne le savez déjà que nous avons aujourd'hui, nôtre rencontre "Femme&Foi"

Rendez-vous salle annexe, rue Monté Cristo à 19h.
fin de notre rencontre à 21h
Une collation chaude ou froide vous sera servie à la fin comme à chaque fois.
Venez à l'heure ceci permettra à chacune de finir plus tôt.

Notre thème : suite de "Puissance de la louange"
     
                       -les obstacles à la louange

Nous sommes heureuses de vous recevoir .

Annie et Elyane

JE NE PEUX PAS TOUT FAIRE !

 

 

JE NE PEUX PAS TOUT FAIRE ! dites-vous parfois avec exaspération  ...

Que chacun examine ses propres œuvres, et alors il aura sujet de se glorifier pour lui seul, et non par rapport à autrui.
—Galates 6.4

Une fillette de 4 ans aidait sa mère à ranger sa chambre avant de se coucher. Quand celle-ci lui a demandé de ranger les vêtements se trouvant sur son lit, Eliana a toutefois atteint sa limite. S’étant retournée, elle lui a lancé avec les poings sur les hanches : « Je ne peux pas tout faire ! »

Avez-vous parfois ce sentiment devant les tâches que Dieu vous appelle ou pas à accomplir ? Il est facile de nous sentir dépassés par nos engagements au sein de l’Église, le devoir d’évangéliser et la responsabilité d’élever une famille. Etre un témoin dans vôtre travail.....Il peut nous arriver de soupirer d’exaspération et de prier : « Seigneur, je ne peux pas tout faire ! »

Les attentes de Dieu, qui comprend nos limites, ne sont toutefois pas exagérées.

C’est nous qui exagérons !

En voici des exemples :

« S’il est possible, autant que cela dépend de vous, soyez en paix avec tous les hommes » (Ro 12.18) ;

« Tout ce que vous faites, faites-le de bon cœur, comme pour le Seigneur et non pour des hommes » (Col 3.23) ;

« Que chacun examine ses propres œuvres, et alors il aura sujet de se glorifier pour lui seul, et non par rapport à autrui » (Ga 6.4).

Il n’exige pas la perfection ..si tant est que quelqu’un doive prétendre à être parfait...LUI SEUL L’EST !

....pour que nous impressionnions les gens, mais pour que nous l’honorions par nos œuvres.

Nous ne le servons pas en rivalisant avec les autres, mais en portant notre propre fardeau.

Dans sa sagesse, Dieu nous a formés pour accomplir exactement ce qu’il attend de nous, ce qui est loin de revenir à tout faire !

Sachons lui demander la sagesse dans nos engagements, notre vie doit être un reflet de sa gloire .

Et notre service journalier doit être fait dans la joie et pour Lui.

 

Alors bien Aîmés prenons les décisions qui s'impose.

Que Dieu nous donne la sagesse dans nos engagements.
Soyez bénis.

Adapté d'une publication de Dave B

Vingt façons d'encourager vos enfants à se droguer et à devenir...

Cet article mérite refflection !

1.                                        1. Ne jamais manger en famille

   


2. Ne jamais avoir de manière hebdomadaire, mensuelle ou annuelle des sorties en famille qu'ils attendent impatiemment pour retrouver l'unité familiale.

  3. Parler à vos enfants, et non pas avec eux, ne jamais les écouter

4. Punir ses enfants en public et ne jamais leur faire de compliments et encourager un comportement positif.   
  

5.Toujours résoudre leurs problèmes; prendre les décisions à leur place.

6.Laisser la responsabilité de l'éducation morale et spirituelle à l'école et à l'église.

 7. Ne jamais laisser vos enfants expérimenter le froid, la fatigue, l'aventure, la blessure, le risque, le défi, l'échec, la frustration, le découragement, etc...




8. Menacer ses enfants ("si jamais tu essayes la drogue ou l'alcool, je te punirai.")

 
9. Attendre de vos enfants qu'ils aient 20/20 à l'école dans toutes les matières.


10. Être toujours derrière vos enfants, et ne pas les encourager à prendre des responsabilités.

11. Décourager vos enfants à exprimer leurs sentiments (colère, tristesse, crainte, etc.)

 12. Être trop protecteur, et ne pas apprendre à vos enfants la signification du mot "conséquence".

 13. Faire croire à vos enfants que leurs erreurs sont des péchés. 

14. Répondre à vos enfants lorsqu'ils demandent "pourquoi ?": "parce que c'est comme ça"

15. Amener ses enfants à croire que vous êtes parfaits et infaillibles. 

16. Entretenir l'atmosphère familiale dans le chaos.

17. Ne jamais dire à vos enfants combien vous les aimez, et ne jamais discuter avec eux de vos sentiments.  

18. Ne jamais les serrer dans vos bras ou leur manifester de l'affection. 

19. Toujours s'attendre au pire, et ne jamais leur laisser le bénéfice du doute.

20. Ne leur faites jamais confiance.  

À méditer .  

Eph.6.4 Et vous, pères, n'irritez pas vos enfants, mais élevez-les en les corrigeant et en les instruisant selon le Seigneur.

Car la Sainte Parole nous enseigne :

Col.3.21 Pères, n'irritez pas vos enfants, de peur qu'ils ne se découragent.

Mais nous avons ces promesses :

Ph.4.6  Ne vous inquiétez de rien; mais en toute chose faites connaître vos besoins à Dieu par des prières et des supplications, avec des actions de grâces.

Mt.7.7-9  Demandez, et l'on vous donnera; cherchez, et vous trouverez; frappez, et l'on vous ouvrira. 8 Car quiconque demande reçoit, celui qui cherche trouve, et l'on ouvre à celui qui frappe. 9 Lequel de vous donnera une pierre à son fils, s'il lui demande du pain? 

C’est pourquoi, le Seigneur nous dit que :

Mc.11.24 … Tout ce que vous demanderez en priant, croyez que vous l'avez reçu, et vous le verrez s'accomplir.

 Source...inconnue 

Soyons patients ! Dieu n'est jamais en retard !

Nous devons apprendre que le temps de Dieu est rarement le même que le nôtre.

L’un des plus gros problèmes que nous ayons, c’est le temps. On court après lui, sans jamais le rattraper d’ailleurs ! Il va toujours plus vite que nous ; Alors ? Nous avons du mal à être patients, nous sommes souvent pressés alors que Dieu ne l’est pas. Nous pouvons nous sentir frustrés à cause de la lenteur des choses, soit pour obtenir des biens personnels, soit pour progresser dans nos vies et la vie des autres. N’oublions jamais que Dieu ne se presse jamais mais qu’il est toujours à l’heure.

Il y a un temps pour tout, un temps pour toute chose sous les cieux
  (Ecclésiaste 3:1)

Dans nos vies, il y a parfois des saisons :

Au printemps, il y a une brusque croissance. Les évènements se précipitent, des changements radicaux se produisent, nous sommes étonnés de la vitesse à laquelle vont les choses.

En automne ou en hiver, tout ralentit, tout stagne. Croyons que Dieu œuvre dans notre vie même si nous ne le sentons pas. Le travail de Dieu en nous est un travail de longue haleine qui s’effectue pas à pas. Qu’en est-il des problèmes, des soucis, des inquiétudes, des douleurs que nous aimerions voir disparaître rapidement ? Prier pour un changement rapide et radical est une bonne chose, mais ne soyons pas trop déçus si la réponse ou le changement sont longs ou progressifs.

Dieu fait toute chose belle en son temps  (Ecclésiaste 3:11)

Un temps assez long s’écoule entre le moment où la graine est plantée et ce qu’elle deviendra. La Parole de Dieu nous montre comment le Seigneur met en œuvre un long processus pour former ses enfants. Quand Dieu veut créer un champignon, il ne faut qu’une nuit, mais pour faire un grand chêne magnifique, il faut un siècle. Il en est de même pour nos vies qui se forment au travers des épreuves, des luttes, des tempêtes, des souffrances.

Sachant que l’épreuve de votre foi produit la patience. Mais il faut que la patience accomplisse parfaitement son œuvre, afin que vous soyez parfaits et accomplis, sans faillir en rien...
(Jacques 1:3-4)

Ne considérons pas seulement le chemin qu’il nous reste à parcourir, mais aussi celui que nous avons déjà fait. Nous ne sommes pas là où nous le voudrions, mais comprenons quelles étapes Dieu nous a fait franchir. Ne nous décourageons pas : les délais de Dieu ne sont jamais des retards.

Car c’est une prophétie dont le temps est déjà fixé, elle marche vers son terme, et elle ne mentira pas, si elle tarde, attends-la, car elle s’accomplira, elle s’accomplira certainement...(Habakuk 2:3)

Soyons patients avec Dieu, il n’a pas encore fini avec nous.

C’est là ce qui fait votre joie, quoique maintenant, puisqu’il le faut, vous soyez attristés pour un peu de temps par diverses épreuves, afin que l’épreuve de votre foi, plus précieuse que l’or périssable (qui est cependant éprouvé par le feu), ait pour résultat la louange, la gloire et l’honneur, lorsque Jésus-Christ apparaîtra  (1 Pierre 1:6-7)

Combien d’entre nous sont prêts à croire que même l’escargot a fini par entrer dans l’arche à force de persévérance ? 

Elle n’est pas partie sans lui !

Eric Lefèvre

Psaume 23 ! belle redécouverte ....

Voici une belle analyse du psaume 23

La prière du Seigneur - Psaume 23:

Le Seigneur est mon berger: RELATION

Je ne manquerai de rien :PROVISION

IL me fait reposer dans de verts pâturages: REPOS

Il me dirige près des eaux paisibles: RAFRAÎCHISSEMENT

Il restaure mon âme :GUÉRISON

Il me conduit dans les sentiers de la justice: GUIDER, 

DIRECTION

A cause de son nom: BUT

Quand je marche dans la vallée de l'ombre de la mort: 

TEST

Je ne crains aucun mal: PROTECTION

Car tu es avec moi: FIDÉLITÉ

Ta houlette et ton bâton me rassurent: DISCIPLINE

Tu dresses devant moi une table, en face de mes
 ennemis: ESPOIR

Tu oins d'huile ma tête: CONSÉCRATION

Et ma coupe déborde: ABONDANCE

Oui, le bonheur et la grâce m'accompagneront tous les

 jours de ma vie: BÉNÉDICTION

Et j'habiterai dans la maison de l’Éternel: SÉCURITÉ

Jusqu'à la fin de mes jours: ÉTERNITÉ



(ADD La Ciotat sur Facebook)



apprenez ce psaume par coeur il vous sera utile certainement !

LA DOUCEUR....

Galates 5.22-23 « Mais le fruit de l’Esprit est l’amour, la joie, la paix, la longanimité, la bienveillance, la bonté, la fidélité, la douceur, la tempérance, contre de telles choses, il n’y a pas de loi. »

LA DOUCEUR
Il existe trois aspects principaux dans ce terme douceur :
1. Elle est une qualité du caractère, de la personnalité
2. Elle est précieuse aux yeux de Dieu
... 3. Elle est un des éléments essentiels de l’enseignement de Christ
La question qui se pose être doux cela veut-il dire être faible ?
Beaucoup associe douceur à faiblesse. Cependant la véritable douceur demande une force de caractère, une volonté de l’homme qui représente la douceur dans la Bible est Moise, il est fort et reste patient envers ce peuple qu’il conduit en Canaan, (nombres 12.3) « C’était un homme « fort patient, plus qu’aucun homme sur la face de la terre ».
Sa douceur ne lui fait pas oublier qu’aimer c’est aussi reprendre l’autre, le corriger, il sait montrer de la sévérité (exemple le veau d’or il contraint le peuple qui adore ce veau à boire la poussière de leur propre idole (exode 32.20) cependant ici il s’agit d’une colère sainte il défendait le véritable Dieu.
Un autre homme dans la Bible est Etienne, il prie pour ses meurtriers (actes 7.60)
Ces deux hommes ont un zèle pour Dieu et font preuve d’humilité face à leur mission et à eux même.
Et le meilleur des exemples est Christ « fut « mené comme une brebis à la boucherie », et cependant purifia le temple avec un fouet ! »

Arrêtons nous aujourd'hui sur le troisième point:
La douceur est l'élément essentiel de l’enseignement de Christ (Jacques 1:21):
« C’est pourquoi, rejetant toute souillure et tout excès de méchanceté, recevez avec douceur la parole qui a été plantée en vous et qui peut sauver vos âmes. » notre douceur est un élément essentiel afin de comprendre la Parole de Dieu elle nous permet d’ouvrir notre esprit, notre coeur d’être réceptif au message Biblique.
C’est jacques3.13 qui nous invite à montrer notre douceur « Lequel d’entre vous est sage et intelligent ? Qu’il montre, par sa bonne conduite, ses oeuvres empreintes de douceur et de sagesse. » Notre douceur si elle vient de Dieu sera toujours empreinte d’humilité et d’amour pour l’autre.
Lorsque notre douceur permet de ramener la paix et de faire grandir l’autre alors c’est là la plus belle des victoires car nous savons que nous avons ancré en l’autre un témoignage profond de l’amour de Christ
Quels sont les promesses qui en découlent Ces versets nous en parlent :
Psaume 22.26 en parle «Les humbles mangeront et se rassasieront, Ils loueront l’Éternel, ceux qui le cherchent. Que votre coeur vive à toujours ! »
Psaume 25.9 « Il fait cheminer les humbles dans la justice, Il enseigne aux humbles son chemin. »
Mathieu 5.5 « Heureux ceux qui sont doux, car ils hériteront la terre ! » n’est-ce pas la plus belle des promesses laissé par notre Roi ?

Dans notre société être doux est une faiblesse dans le royaume Céleste toute la puissance de notre foi, de notre témoignage, de notre espérance, et de l’espérance offerte à chacun chacune par celui qui dira lui-même « Je suis doux et humble de coeur ».

En acceptant d’entrer dans cette grande école de la douceur nous pourrons alors vivre la paix et voir les bénédictions sur nos vies ces temps que nous vivons parfois car nous sommes encore tous et toutes à cette école sont des temps d’éternité où nous voyons les prémices de ce que Christ nous a préparé et prépare pour nous dans son Royaume.

Bonne semaine à chacune
Soyez bénies .

Paul Baloche chante en français !

"Mère ! mais.....qui est- elle vraiment ?

Si le rôle de Mère évoque immanquablement le fait de donner naissance, d’enfanter ;

il est une autre définition de ce mot : mère. Le sens en est pourtant le même.

... Et cependant, il n’est pas question ici de porter un enfant dans son sein pendant 9 mois, puis de le mettre au monde.

Bien au-delà de cette réalité de la maternité, il existe d’autres mères : Toutes les femmes, de tout âge, de toute culture, de toute origine sociale, peuvent accéder à ce rôle de mère, sans pour autant avoir, un jour, procréé, donné vie à un enfant. Or, c’est bien de cela dont il est question : Donner VIE !

Dieu en créant la femme, lui a accordé bien plus qu’un " espace conception ".

Au-delà des organes reproducteurs… Dieu créa la femme dans un but précis : engendrer la vie !

Dieu a voulu la Femme, mais Il a pourvu aussi cette dimension extraordinaire de la vocation de Mère.

L’identité de la femme, selon le plan de Dieu, en est la véritable définition.

Sa nature même évoque la vie à transmettre.

J’ose affirmer qu’un cœur de femme peut faire naitre !

Il est ici question d’émotions, de sentiments, de considérations pour autrui, du désir de voir s’éveiller à la vie ce qui n’est pas. Ce qui est mort, ou semble mort.

Un des traits, bien féminin, est la créativité : faire de ses mains, organiser, planifier, projeter.

Une autre aptitude, qui suit de près, est le " prendre soin ".

Dès la petite enfance, la petite fille va imiter le profil de la Mère.

Regardez-la jouer avec ses poupées et nounours. La fillette imite ses " repères féminins ".

Elle est née fille et déjà sommeille en elle, la femme en devenir.

Observez-la dans tous les soins affectifs, domestiques, voire même éducatifs qu’elle exerce sur ces poupées de cellulose, bien langées, bien coiffées, voire maquillées ! Et puis … " On joue à la maitresse ".

Mesdemoiselles, mesdames, ne me dîtes pas que je fus la seule à mettre mon nounours au piquet !

" Être mère " serait donc inné ?

Les femmes non-maternantes ne sont pas exclues de cet aspect. Malheureusement, trop de souffrances, tant de ruptures, sans compter ces blessures dans leur parcours ont dû entacher, blesser cette âme de Mère que Dieu avait créé.

Quand est-il de celles qui n’ont jamais enfanté ?

L’absence d’enfant ne signifie pas absence d’aptitude maternelle. Une célibataire, une femme stérile vit pleinement aussi ces émotions de mère. Ne l’oublions pas : elle a, en elle, cette nature que le Créateur a définie et voulue pour son existence sur terre.

Car Dieu en créant la femme, avait prévu " la Mère " !!!

Et surtout… un cœur de mère

Un cœur de mère, c’est un cœur qui aime, qui entend, qui compatit mais aussi qui interpelle, qui agit, qui intervient…

L’amour d’une mère la poussera toujours à se lever et à passer à l’action.

L’amour d’une mère la poussera à prendre des décisions, à se positionner, à se " battre "… pour la bonne cause !!!

Nous parlons beaucoup d’évangélisation, d’oser sortir et parler du Sauveur pour le salut des perdus.

Dieu ne nous dit pas que : "Allez… ".

À cette action d’aller, notre Seigneur cherche des mères qui vont aimer, entendre, comprendre et se lever pour agir !

Encore une fois, il n’est pas question de mettre au monde (accoucher), mais cependant tout est là : DONNER LA VIE !

Si nos actions dans le témoignage sont importantes, nos attitudes de vie chrétiennes (témoignage muet) le seront encore plus.

La plus grande décision et la meilleure attitude seront essentielles : notre vie de piété, notre relation avec le Seigneur, nos conversations privées avec le Sauveur. Quand personne ne nous voit, quand personne n’entend…! Dieu, lui, écoute nos prières et y répond !

Nous ne pouvons rien sans la prière, nous ne sommes rien sans la prière…

La prière d’une mère spirituelle

Bien au-delà d’un titre bien redondant, d’une casquette parfois inconfortable ou encombrante, permettez-moi de vous donner ma définition de la " femme-mère spirituelle ".

Elle peut porter votre prénom aujourd’hui, pourvu que vous reconnaissiez Jésus, non seulement Sauveur mais aussi Seigneur de votre vie. Il doit être le Maitre de chacun de vos projets : Celui qui inspire même vos rêves les plus intimes. Car la femme spirituelle est celle qui se laisse conduire, éduquer, transformer par la vie de l’Esprit de Dieu, en permanence, dans une vie quotidienne, dans chaque moment de son existence : chacune de ses pensées y compris ses émotions.

Vous comprenez ainsi combien les titres, les casquettes, les renommées, toute cette vanité sont superflus, inutiles. Car la femme spirituelle est simplement une femme soumise, docile, humble, malléable entre les mains de son Seigneur.

On est très loin de tous ces clichés de femmes TTS !!! (Très, Très Spirituelle). Oserais-je ajouter un I pour … Intégriste ?

La prière de foi qui donne VIE !

Une attente… Car il faut de la patience pour que la vie se développe !

Une espérance… Car il faut espérer encore et toujours, même quand les circonstances vous déroutent !

Une joie… anticipée certes. Mais votre confiance en Dieu pour ce que vous demandez, produira immanquablement une joie profonde, sereine !

Une paix… Comme seul Jésus peut la donner, n’oubliez jamais que votre Seigneur, Celui que vous servez est le Prince de Paix !

Cependant quand nous nous inquiétons, quand nous hésitons, quand nous craignons pour ceux que nous aimons tant… Devant le danger rencontré, l’épreuve traversée, Dieu est bien capable de nous parler :

« Je suis Celui qui te garde et j’en fais autant pour chacun de ceux que tu aimes, ceux pour qui tu pries, celui ou celle à qui tu parles de Moi… »

Voilà une parole que j’ai reçue lors d’une expérience faite au printemps 2010, et qui reste, à tout jamais, gravée sur mon cœur et dans ma mémoire.

Je voudrais m’adresser à toutes les femmes et mères en devenir, que vous ayez mis au monde un enfant ou pas… Vous avez été créée Femme avec un Cœur de Mère ! Mes amies, donnons vie, partageons la VIE de Dieu qui est en nous.


Lecture biblique conseillée : Juges 4 et 5.

Et si tout comme Déborah, nous nous levions comme une mère pour…

À vous de préciser les bénéficiaires !


( Patricia BERTHALON )

Une très bonne journée à chacune !