PLAIDOYER

CE DONT NOUS AVONS
BESOIN…
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Ce dont nous avons besoin en ce siècle,
C’est de femmes….
De femmes qui ne se vendent pas,
De femmes sûres, vraies jusqu’ au fond du cœur,
De femmes qui craignent Dieu et haïssent la cupidité,
De femmes dont la conscience est invariable comme la boussole,
De femmes qui défendent la justice, même si le ciel et la terre tremblent,
De femmes qui disent la vérité en regardant le monde et l’enfer en face,
De femmes qui ne se vantent, ni ne se dégoûtent de rien,
De femmes qui ne soient ni lâches, ni fanfaronnes,
De femmes animées d’un courage tranquille,
De femmes dont la vie spirituelle est
calme, profonde et puissante comme un grand fleuve,
De femmes jalouses de l’honneur de DIEU,
et qui ne font aucun cas des applaudissement,
De femmes que les limites sectaires n’arrêtent pas,
De femmes dont la force ne faiblisse pas
avant que le jugement soit établi sur la terre,
De femmes qui connaissent leur mission
et qui la remplissent,
De femmes qui comprennent leur message
et le délivrent,
De femmes qui soient à leurs affaires,
De femmes qui ne soient ni trop
paresseuses pour travailler, ni trop orgueilleuses
Pour rester dans la pauvreté,
De femmes qui savent en qui elles croient,
De femmes fortes d’une force divine, sages de la sagesse d’en haut,
Et aimant d’un amour divin, amour qui se donne, amour qui ne calcule pas,


EN UN MOT : DES FEMMES DE DIEU !

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http://www.eglises.org/

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LECTURE POUR CHAQUE JOUR

LECTURE POUR CHAQUE JOUR
LECTURE POUR CHAQUE JOUR

CALENDRIER BIBLIQUE " LA BONNE SEMENCE

En cliquant sur le lien ci-dessous en bleu clair, vous trouverez un calendrier avec une réflexion pour chaque jour... bonne lecture.


lundi 20 mai 2013

Tes pensées peuvent devenir une arme efficace si tu en décide ainsi !

 
Tes pensées peuvent devenir une arme efficace si tu en décide ainsi !
Prends courage !

 L’apôtre Pierre nous donne un précieux conseil : Christ ayant souffert, vous aussi armez-vous de la même pensée (1 Pierre 4.1). Il présente la pensée, comme un moyen de ...guerre, comme une arme.

Comment cela fonctionne ?
Il est des personnes qui considèrent la difficulté, l’épreuve, la tribulation comme étant des situations anormales et elles pensent que Dieu devrait leur rendre la vie plus facile......
Ces personnes considèrent que leur vie est dure, que Dieu ne les aide pas assez, qu’il n’est pas normal que leur chemin soit aussi compliqué. Leurs pensées tournées vers leurs épreuves sont négatives et rendent encore plus insupportable leur situation. Elles sont désarmées face à leurs difficultés, ce qui les amène à se décourager !

C’est pourquoi Pierre nous invite à nous armer en pensant aux souffrances de Christ.

Penser aux souffrances de Christ à l’heure où nous passons par l’épreuve c’est une manière de résister aux assauts du diable qui voudrait à ce moment-là nous décourager. Pensons, que le chemin par lequel nous passons, est sous le contrôle de Dieu.

Chassons de notre esprit la pensée que ce chemin est trop dur, que nous n’y arriverons pas, que Dieu n’est plus avec nous.

L’Ecriture nous dit que Dieu est toujours avec nous, qu’avec l’épreuve il prépare le moyen d’en sortir, que toutes choses concourent au bien de ceux qui aiment Dieu. Nous connaissons toutes ces versets !
Alors que vous passez par un moment difficile, commencez à vous armer de cette pensée de Christ souffrant, et pensez à ce que Dieu fait en vous.

Parfois Dieu nous conduit dans un chemin difficile car il œuvre en nous.
Alors que Jésus vient d’être baptisé, l’Esprit saint le conduit au désert. Il va connaître un temps de solitude et d’épreuves, couronnées par une triple tentation.
Souvenons-nous de Jésus souffrant et tenté dans le désert, alors que nous passons par la tribulation, c’est notre meilleure arme pour résister au découragement et à l’abandon.

Ne nous est-il pas dit que Jésus a appris par les choses qu'Il a souffertes ?

Penser à Christ traversant l’agonie de la croix, nous permet de considérer nos souffrances avec un autre regard. Cela nous équipe pour la bataille contre l’adversité.

Certaines d'entre nous ont un langage de guerrières le dimanche matin, au moment du partage de la sainte cène, elles pensent à la vie livrée de Jésus et cela les fortifie, mais ensuite dès le lundi matin n'oublient-t-elles pas de penser au Christ souffrant ?
Elles deviennent des croyantes plaintives, gémissantes.

Commençons à penser comme Paul qui disait :
Je puis tout par celui qui me fortifie (Phi. 4.13).

LA GUERRE DES PENSEES !


mardi 14 mai 2013

BUT DE L’INTERCESSION....

 
 
 
Le texte d'aujourd'hui a pour but de nous faire prendre conscience de notre rôle dans l'intercession, car en nous rachetant par son sang, Christ a fait de nous des sacrificateurs pour Dieu son Père et à ce titre des intercesseurs.
Celui qui nous aime, nous a délivrés de nos péchés par son sang, et il a fait de nous un royaume, des sacrificateurs pour Dieu son Père. apocalypse 1:6
Ceux qui ont été sauvés de leurs péchés par le sang de Jésus deviennent à leur tour des intercesseurs.
Jésus est le modèle parfait dont nous devons nous inspirer, mais nous trouvons dans les Ecritures d'autres personnes tels Moïse, Néhémie, Daniel, Samuel et d'autres prophètes qui nous montrent l'exemple d'une intercession véritable.
 
Et ses prophètes ont pour eux des enduits de plâtre, de vaines visions, des oracles menteurs ; ils disent : Ainsi parle le Seigneur, l’Eternel ! Et l’Eternel ne leur a point parlé. Le peuple du pays se livre à la violence, commet des rapines, opprime le malheureux et l’indigent, foule l’étranger contre toute justice. Je cherche parmi eux un homme qui élève un mur, qui se tienne à la brèche devant moi en faveur du pays, afin que je ne le détruise pas ; mais je n’en trouve point. Ezéchiel 22:28-30
 
Il y a plusieurs raisons à ce que nous nous rangions dans les rangs de ceux qui intercèdent.
La première, c'est que Dieu lui-même le désire. Il cherche et appelle des intercesseurs.
 

Selon les textes de la Bible, nous constatons au moins deux choses au sujet de l'intercession :
 
1 - Elle est le fait de personnes conscientes de la gravité d'une situation, compatissantes et disponibles,   s'associant au désir de Dieu de faire grâce.
 
2 - Son efficacité lui confère une valeur inestimable et un grande place dans notre vie de prière. Même lorsque les choses semblent irréversibles et déterminées de la part de Dieu, les intercesseurs peuvent détourner le cours des événements ou au moins sauver ce qui peut l'être, tel Abraham avec son neveu à Sodome.

Quel est donc le but de l'intercession ?

Détourner la colère de Dieu, et amener sa bienveillance. L’intercession favorise l’action du Saint-Esprit, contrarie l’œuvre du diable.
C’est un combat spirituel. L’intercession est la forme de prière qui exige le plus de consécration, le plus de persévérance et le plus de renoncement à soi-même.
Cette prière nous conduit à rencontrer Dieu dans un face à face profond, respectueux, conscient de sa justice comme de sa grâce incomparable. Dans l’intercession on atteint Dieu, en Christ, pour saisir sa main et la détourner du jugement pour exercer sa Grâce.

L’intercesseur a la vison de ce que Dieu va et veut faire ; il ressent de la compassion envers les coupables, les hommes ; il est rempli de la sollicitude de Jésus-Christ, seul sacrifice suffisant pour détourner la juste colère de Dieu, intercédant donc pour ceux qui sont en perdition.
Dieu cherche des intercesseurs qui s’oublient eux-mêmes pour prier en faveur des autres.
La grande affaire de votre vie, si vous êtes sauvé, c’est de prier pour le salut des autres.
Partout où Dieu vous place, priez sans attendre, priez pour que l’œuvre de la rédemption s’accomplisse dans d’autres vies, comme elle s’est accomplie dans la vôtre.
Priez maintenant pour vos amis ; priez aujourd’hui pour tous ceux avec lesquels Dieu vous met en relation.
Priez pour vôtre Eglise !

lundi 13 mai 2013

BONNE SEMAINE !


Ce qui permet à un mariage de durer .....


 
Ce qui permet à un mariage de durer :

Par Gérard Hoareau Mission Vie et Famille

Témoignages :

Nous pensons que si notre mariage dure, c’est que nous avions au départ des bases communes : notre culture, notre éducation et surtout notre foi. Nous avions des objectifs communs : être un couple pour la vie, rendre l’autre heureux.

Restaient les différences, multiples. Certains disent que ce sont des richesses. C’est tout à fait vrai, à condition de les accepter et de les intégrer comme telles.

C’est un travail de longue haleine qui demande une patience renouvelée pour vraiment accepter l’autre comme il est, dans son rythme, par exemple. Mais quelle joie quand on voit que grâce à cela, le conjoint s’épanouit et ne vous en aime que davantage.

Nos différences entraînent aussi des discussions, voire des disputes. C’est là que la sagesse intervient : nous en reparlons quand nous sommes plus calmes dans le but de nous comprendre, de partager mieux. Nous nous demandons pardon quand c’est nécessaire et veillons ainsi à ce qu’aucune faille importante ne nous sépare. Il faut enfin que chacun puisse être assuré de pouvoir se montrer à l’autre comme il est. C’est parce que l’amour, la tendresse sont solides que cela est possible. Cet amour nous amène à penser à l’autre plutôt qu’à soi-même. Plus on donne, plus on reçoit et l’amour se renouvelle. (J. et M.)

Ce qui fait durer un mariage, c’est le besoin de l’autre, le besoin de donner et d’aimer (on donne et on reçoit). Il faut aussi reconnaître l’autre en tant que personne unique. Ce qui fait durer un mariage, c’est donner et vouloir donner, y compris l’amour. Le mariage dure parce que Dieu le veut et que j’ai aussi fait le choix que ça dure. (B.)

Accepter vraiment l’autre comme il est. Cela signifie beaucoup de patience, d’attention à l’autre. C’est parler, partager sans se décourager en choisissant les moments. Il faut exprimer ses sentiments et ses émotions ; il faut servir, mais on a besoin de sentir que l’on est très important, c’est essentiel dans le mariage. (A.)

Des mots s’entrechoquent. C’est difficile. Je vois d’abord le mot dialogue (indissociable du dialogue avec Dieu et qui s’y enracine) pour pallier aux différences, les combler. Ce sont les différences qui permettent de créer une dynamique (très vivante). Et le dialogue est créateur. Il permet de devenir une seule chair, alors qu’en réalité, on est deux ! Le mot amour me vient aussi à l’esprit. Non pas un amour raisonnable (trop ennuyeux !), ni un amour passion (trop aveugle !), mais cet amour qui ne se lasse pas de l’autre, qui ne s’ennuie pas avec l’autre, qui est toujours prêt à entreprendre des choses extravagantes ou à aller au bout du monde avec l’autre. (G. et A.)

L’amour-passion évolue ; la passion demeure mais s’enrichit de la compréhension, de l’acceptation, de la tendresse, de l’importance de l’autre et de la découverte de l’autre. (C.)

Nous ne pouvons pas donner de « recette miracle «  pour la réussite d’un couple, mais il est bien évident qu’à la base, il faut l’amour. Il faut aussi partager les mêmes valeurs (morales et spirituelles), ne pas être égoïste mais savoir être à l’écoute de l’autre. Se parler est très important. Ne pas non plus vouloir changer l’autre bien que chacun, par amour, fera tout pour plaire à son conjoint. (H.)

L’amour permet de faire durer le mariage. L’amour, c’est essayer de regarder l’autre comme Dieu le voit : «  justifié «  (rendu juste) plutôt que «  juste « .
Dans le mariage, le pardon et le fait d’être aimé de façon inconditionnelle par Dieu, me donneront la force et la capacité de vaincre les difficultés qui peuvent surgir. (R.)

Ce qui permet à un couple de durer ? Tout. L’expression du corps, le charme… Tout ce qui a séduit et qui devrait toujours séduire. Une relation amoureuse s’entretient au même titre qu’une relation amicale. Il faut refuser le non respect et l’oubli de l’autre. Refuser d’être assis à ses côtés en regardant la télé, l’autre n’étant plus qu’un écran supplémentaire parmi d’autres ou réduit à un programme érotique…
La solidité d’un couple passe par des jeux amoureux, des petits conflits aussi et des tensions. Rien n’est jamais acquis. Il faut continuer à séduire. (D. F.)

En partenariat avec www.famillejetaime.com et
www.missionvieetfamille.com

 

mardi 7 mai 2013

http://pluzz.francetv.fr/videos/les_nouvelles_eglises_evangeliques_,81327873.html

Le courage de vivre



Avez-vous remarqué que nous sommes plus angoissés par la peur de perdre ce que nous avons, que par la peur de ne pas avoir ce que nous désirons. Plus souvent qu’autrement, nous nous réfugions dans notre zone de confort plutôt que d’affronter les défis de la vie.

Il y a quelques mois, cette vérité m’est venue à l’esprit lorsque j’observais des centaines d’embarcations dans un joli port de mer. Au moment où j‘admirais les voiliers et les superbes yachts, je me suis posé la question s’ils étaient là pour embellir ce port et réjouir le regard des touristes, ou s’ils prenaient la mer parfois.

Vous conviendrez avec moi qu’un navire qui demeure dans la sécurité de son port d’attache passe à côté de sa mission. Un bateau est conçu pour naviguer, voguer sur la mer. Il est même bâti pour braver les éléments qui peuvent quelques fois se présenter à lui. Qui plus est, la mer et l’océan sont de puissantes métaphores de la vie avec ce que cette dernière représente de défis, d’embuches et bien sûr, d’aventures.

Vous et moi, pouvons choisir de ne pas bouger et de nous cramponner à ce que nous avons par peur de les perdre. Mais la vie, c’est bien plus que de vivre dans nos retranchements. Je ne me souviens plus où j’ai pris cette pensée qui dit : « J’aime mieux vivre et voler comme un aigle et être terrassé par la foudre que de tourner en rond dans un étang comme un beau signe blanc ». Voilà ma motivation personnelle dans ma propre vie. AFFRONTER et CONFRONTER. Cela signifie aller de l’avant malgré les peurs et les incertitudes et, en toute chose, vivre pleinement.

Plus que tout, c’est la peur qui empêche les gens de vivre librement, de travailler à la réalisation de leurs aspirations. Si la peur est une bonne assistante, elle est une mauvaise directrice. Elle nous paralyse au lieu de nous faire avancer. Bien plus, quand on l’écoute et que l’on s’y soumet, elle nous contraint à ne pas bouger, à assurer notre sécurité, à préserver nos acquis. Mais à la fin, elle nous atrophie et nous coupe de l’essentiel de la vie.

La peur est l’émotion première de notre époque. Les anxiolytiques constituent parmi les médicaments les plus prescrits dans nos sociétés modernes. Bien sûr, la peur nous est utile. C’est elle qui assure notre protection ainsi que notre préservation. Mais le paradoxe est que bien des institutions dans notre monde moderne jouent sur nos peurs et nos insécurités : les politiciens, les grandes compagnies d’assurance, les agences bancaires et même les systèmes religieux. Ils tentent de nous rallier à leur cause, à acheter leur produit, à obéir à leur règle et tout cela par la peur. Et cette peur ne porte que sur un seul aspect : la peur de perdre. Perdre notre sécurité. Perdre notre confort. Perdre nos biens, etc.

Le seul moyen de contrecarrer la peur consiste à user de courage. Le courage n’est pas l’absence de peur. C’est prendre celle-ci en laisse et la garder sous son contrôle. D’ailleurs, le mot courage prend sa racine latine dans le mot « cœur » comme l’expression avoir du cœur. Plus on apprend à utiliser notre courage plus nos peurs perdent de leur pouvoir.

Pour illustrer mon propos, permettez-moi de vous raconter l’histoire que je viens tout juste de lire et qui concerne une jeune fille appelée Marie-Noëlle . L’article du journal portait sur les déboires de cette dernière avec les services sociaux. Mais là n’est pas mon point. La chroniqueuse se met à décrire la vie de Marie-Noëlle, ses voyages au Viêt-Nam et en Tunisie et bientôt à Cuba et aussi ses 19 sauts en parachute. Marie-Noëlle possède un baccalauréat en psychologie et un certificat en criminologie. Mais voilà, elle est lourdement handicapée. Voici ce qu’en dit la chronique : « Elle est atteinte de paralysie cérébrale très sévère. Elle est attachée à un fauteuil roulant, ne parle pas, ne peut pas manger toute seule. Elle communique avec un petit faisceau rouge fixé sur ses lunettes qu’elle dirige sur un grand tableau blanc, rempli de mots et d’expressions».  Incroyable ! Je suis toujours renversé par ses récits de courage et de détermination. Marie-Noëlle aurait pu se résigner à une vie disons « végétative » mais au contraire, elle a su, malgré son lourd handicap, dépasser ses propres limites. Elle a compris ce qu’est le courage de vivre. (Montréal, La Presse, chronique de Mylène Moisan, dimanche le 28 avril 2013).

Eleanor Roosevelt, l’épouse du 32e Président américain, Franklin D Roosevelt a dit : « Vous allez acquérir de la force, du courage et de la confiance face aux expériences de la vie à chaque fois que vous allez regarder en face vos peurs. Vous devez faire ce que vous ne vous croyez pas capable de faire ».  
Elle aussi avait compris ce qu’était le courage de vivre.  
« Le courage est la peur qui a fait ses prières » Paulo Coelho
par Denis Morissette

lundi 6 mai 2013

DANS SA PRESENCE



“Afin que nulle chair ne se glorifie devant Dieu.”(1 Corinthiens 1:29).

Ce verset n'est pas une vérité du Nouveau Testament seulement. C'était aussi vrai à l'époque de Moïse. Moïse ne pouvait pas délivrer le peuple de Dieu par ses propres forces. Il devait apprendre, une fois pour toute, que l’œuvre de Dieu ne s'accomplit pas par une capacité humaine mais par une totale confiance et dépendance dans le Seigneur. 

C'est vrai pour chaque chrétien aujourd'hui.
Il doit y avoir un moment où l'on coupe court à tout ce que la chair essaye d'apporter à Dieu.
En effet, Dieu nous dit, comme Il l'a dit à Moïse : “Il n'y a qu'un seul terrain sur lequel tu peux M'approcher et c'est une terre sainte. Tu ne peux pas te confier dans ta chair parce rien de ce qui vient de la chair ne peut subsister dans Ma présence !” 

Lorsque Dieu s'est adressé à Moïse, il a mis l'accent sur les chaussures ( voir Exode 3:5) parce que nos pieds sont parmi les zones les plus sensibles de notre corps. Et que sont les chaussures si ce n'est une protection de notre chair ? Elles nous protègent des éléments, des pierres, des serpents, de la saleté et de la poussière, de la chaleur des pavés. 

Comprends-tu ce que Dieu a dit à Moïse ?

Il a utilisé une chose ordinaire, de la vie de tous les jours pour enseigner une leçon spirituelle, tout comme Jésus l'a fait plus tard en utilisant des pièces, des perles, des dromadaires ou des graines de moutarde. Dieu lui a dit : “Moïse, tu portes quelque chose pour protéger ta chair des blessures. Mais aucune protection de la chair ne sera capable de te garder lorsque je t'enverrai en Égypte, ce lieu ou règne l'iniquité, pour faire face à un dictateur endurci. Tu seras placé dans une situation dont Moi seul pourrai te délivrer. Alors, à moins que tu ne mettes de côté ta confiance dans ta chair, ta douceur, ton zèle et ton humilité, tu ne seras pas capable de faire ce que je t'appelle à faire. Toutes tes capacités ne vaudront rien, à moins que je ne les sanctifient.” 

En effet, Moïse a dû faire face à toutes sortes de tests et d'épreuves lorsqu'il a mené un peuple de trois millions de personnes dans le désert. Sans épicerie, centre commercial ni même un puits pour l'eau, il a dû dépendre entièrement de Dieu, pour tout. 
Moïse avait déjà essayé d'être un libérateur en faisant appel à sa propre force. Quarante ans plus tôt, il avait pris l'épée et avait tué un esclavagiste égyptien cruel. Et maintenant, Dieu lui disait :

 “Moïse, ton zèle doit être sanctifié ou il va te détruire. Veux-tu déposer ton épée et mettre toute ta confiance en Moi ?”


 

David Wilkerson

 

jeudi 2 mai 2013

Veillez sur vos pensées


 
 


"Si vous demeurez dans ma parole, vous êtes vraiment mes disciples ; vous connaîtrez la vérité, et la vérité vous affranchira." Jean 8.31-32
Autrefois, l'auto-apitoiement était un véritable problème pour moi. Chaque fois que le diable organisait une séance de pleurs, je répondais présente. Je me souviens lorsque Dieu commença à me parler à ce sujet…
Nous venions de rentrer d'une conférence où j'avais pris la parole trois jours de suite, du jeudi au samedi. Le dimanche, Dave, mon mari, eut envie de jouer au golf. Je trouvai inacceptable qu'il m'abandonne ainsi au lieu de rester à la maison pour me dorloter. Après tout, je venais de passer trois jours épuisants, à dépenser toute mon énergie pour m'occuper des autres. "Et moi ? songeai-je. J'ai travaillé dur pendant tout le week-end et personne ne fait rien pour moi. Je donne tout ce que j'ai, mais personne ne s'occupe de moi…"

C'était pitoyable ! J'étais terriblement désolée pour moi-même ! Mais Dieu parla à mon cœur : "Joyce, tu ne peux pas à la fois t'apitoyer sur ton propre sort et avoir de la puissance dans ton ministère. Il faut que tu arrêtes de te prendre en pitié chaque fois que ça ne va pas comme tu veux." Mes yeux s'ouvrirent et je compris que je laissais mes pensées, qui n'étaient même pas vraies, me rendre malheureuse.

Si vous voulez comprendre ce qui se passe dans votre vie, faites l'inventaire de vos pensées. À quoi pensez-vous ? Si vous essayez de répondre à cette question, vous constaterez qu'il y a un lien très étroit entre vos pensées et votre vie. Et vous n'êtes pas obligé de vous arrêter sur tout ce qui vous traverse l'esprit.

Dans 
2 Corinthiens 10.3-5, Paul explique que le combat dans lequel nous sommes engagés n'est pas charnel, mais spirituel. Le diable veut mettre des pensées erronées dans notre esprit pour nous empêcher de connaître la joie et la paix que Dieu nous donne en Jésus-Christ. Nous ne pouvons pas le lier physiquement, le mettre en prison ou carrément le tuer. Mais nous pouvons lui résister et choisir d'avoir des pensées justes, saintes, si nous utilisons l'arme spirituelle à notre disposition : la Parole de Dieu.

Si vous voulez être un chrétien victorieux, vous devez consacrer du temps pour apprendre à connaître la Parole de Dieu. Vous pourrez alors réfuter les mensonges que le diable met dans votre esprit en leur opposant la vérité de la Bible. Jésus dit en 
Jean 8.31-32 que si nous demeurons dans sa parole, nous connaîtrons la vérité et la vérité nous rendra libres.

Une action pour aujourd'hui

Arrêtez de laisser le diable utiliser votre esprit comme "une poubelle" et décidez de choisir désormais vos pensées avec soin. Lisez la Parole de Dieu quotidiennement. Prenez le temps de louer le Seigneur et appliquez-vous à être reconnaissant tout au long de votre journée. Si vous remplissez votre esprit avec des pensées justes, le diable n'y trouvera plus de place pour les siennes.
 
Joyce Meyer