PLAIDOYER

CE DONT NOUS AVONS
BESOIN…
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Ce dont nous avons besoin en ce siècle,
C’est de femmes….
De femmes qui ne se vendent pas,
De femmes sûres, vraies jusqu’ au fond du cœur,
De femmes qui craignent Dieu et haïssent la cupidité,
De femmes dont la conscience est invariable comme la boussole,
De femmes qui défendent la justice, même si le ciel et la terre tremblent,
De femmes qui disent la vérité en regardant le monde et l’enfer en face,
De femmes qui ne se vantent, ni ne se dégoûtent de rien,
De femmes qui ne soient ni lâches, ni fanfaronnes,
De femmes animées d’un courage tranquille,
De femmes dont la vie spirituelle est
calme, profonde et puissante comme un grand fleuve,
De femmes jalouses de l’honneur de DIEU,
et qui ne font aucun cas des applaudissement,
De femmes que les limites sectaires n’arrêtent pas,
De femmes dont la force ne faiblisse pas
avant que le jugement soit établi sur la terre,
De femmes qui connaissent leur mission
et qui la remplissent,
De femmes qui comprennent leur message
et le délivrent,
De femmes qui soient à leurs affaires,
De femmes qui ne soient ni trop
paresseuses pour travailler, ni trop orgueilleuses
Pour rester dans la pauvreté,
De femmes qui savent en qui elles croient,
De femmes fortes d’une force divine, sages de la sagesse d’en haut,
Et aimant d’un amour divin, amour qui se donne, amour qui ne calcule pas,


EN UN MOT : DES FEMMES DE DIEU !

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LECTURE POUR CHAQUE JOUR

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CALENDRIER BIBLIQUE " LA BONNE SEMENCE

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mercredi 16 décembre 2009

BIEN LOURD FARDEAU ! !


Bien lourd fardeau !

Pourquoi tant de soupirs?

Un maître demande à son disciple de prendre un sac et de le porter sur une colline. Celui-ci s'exécute rapidement avec joie. Le lendemain, le même service lui est confié... et ainsi de suite durant bien des jours. Petit à petit, le disciple perd sa joie et son entrain à accomplir cette tâche. Finalement, il en vient à maugréer et à ne faire ce qui lui est demandé qu'avec lenteur et soupirs.


Alors qu'il s'arrête de plus en plus en route, lors d'une de ses nombreuses haltes, un autre disciple, venant à passer par là, s'étonne de le voir si abattu et contrarié.

• Qu'as-tu, mon frère, pour avoir l'air si sombre ?
• C'est à cause de ce sac ?
• Qu'a-t-il de particulier ce sac ?
• Il est lourd. Chaque jour, je dois en reprendre un pareil et le porter péniblement jusqu'au sommet de cette colline.
• Mais, n'est-ce pas pour le Maître que tu travailles ?
• Oui, mais j'aimerai bien avoir autre chose à faire que ce bête service.
• Pourquoi dis-tu que ce n'est pas intéressant? As-tu seulement regardé ce que le sac contenait ?
• Non. D'ailleurs, en quoi cela changerait mon labeur ?
• Regarde et tu verras bien.

Quel n'est pas son émerveillement lorsqu'il brasse un tas de magnifiques pierres précieuses. Il y en a de toutes sortes, des rubis, des émeraudes, des saphirs, des escarboucles, des diamants, des topazes, des opales et bien d'autres encore. Elles scintillent de leurs belles couleurs et font maintenant briller les yeux de ce disciple ébahi devant tant de richesses. Sans le savoir, pendant tout ce temps, il avait transporté les trésors de son Maître pour les apporter à ceux qui vivent sur la colline. Comme il repartait directement après avoir déposé le sac, jamais il n'avait vu la joie des ses frères et sœurs. Sur ce fait, il remercie chaleureusement ce frère qui vient de lui ouvrir les yeux et il remet le sac sur son dos pour, non plus marcher, mais plutôt courir. C'est toujours aussi lourd, mais son cœur est léger bien que rempli de louanges envers son Maître qui l'honore d'une si grande confiance en lui confiant ses biens les plus précieux. Sa mission, il va dès lors l'accomplir avec diligence, reconnaissance, paix et entrain.

Toi qui lis cette allégorie, es-tu satisfaite de ce que le Seigneur Jésus te demande ? Aspires-tu à un autre service ? Même si nous ne sommes pas toujours conscients de l'importance de notre mission, qu'elle soit dans notre maison ou au dehors, au près comme au loin, visible ou non aux yeux de ceux qui nous côtoient, soyons assurés que si elle nous a été confiée c'est qu'elle est importante pour notre Maître et utile pour notre prochain. Ce n'est pas en vain que l'on travaille pour lui.

S.

En partenariat avec
www.famillejetaime.com

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