PLAIDOYER

CE DONT NOUS AVONS
BESOIN…
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Ce dont nous avons besoin en ce siècle,
C’est de femmes….
De femmes qui ne se vendent pas,
De femmes sûres, vraies jusqu’ au fond du cœur,
De femmes qui craignent Dieu et haïssent la cupidité,
De femmes dont la conscience est invariable comme la boussole,
De femmes qui défendent la justice, même si le ciel et la terre tremblent,
De femmes qui disent la vérité en regardant le monde et l’enfer en face,
De femmes qui ne se vantent, ni ne se dégoûtent de rien,
De femmes qui ne soient ni lâches, ni fanfaronnes,
De femmes animées d’un courage tranquille,
De femmes dont la vie spirituelle est
calme, profonde et puissante comme un grand fleuve,
De femmes jalouses de l’honneur de DIEU,
et qui ne font aucun cas des applaudissement,
De femmes que les limites sectaires n’arrêtent pas,
De femmes dont la force ne faiblisse pas
avant que le jugement soit établi sur la terre,
De femmes qui connaissent leur mission
et qui la remplissent,
De femmes qui comprennent leur message
et le délivrent,
De femmes qui soient à leurs affaires,
De femmes qui ne soient ni trop
paresseuses pour travailler, ni trop orgueilleuses
Pour rester dans la pauvreté,
De femmes qui savent en qui elles croient,
De femmes fortes d’une force divine, sages de la sagesse d’en haut,
Et aimant d’un amour divin, amour qui se donne, amour qui ne calcule pas,


EN UN MOT : DES FEMMES DE DIEU !

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LECTURE POUR CHAQUE JOUR

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CALENDRIER BIBLIQUE " LA BONNE SEMENCE

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mardi 23 février 2010

LA LEÇON DU BAMBOU


"Vous êtes mes amis, si vous faites ce que je vous commande."

Jean 15:14


lL était une fois un grand jardin, merveilleux, au milieu d’un royaume. Le


Maître aimait à s’y promener quand la chaleur du jour devenait accablante.


Il affectionnait tout particulièrement le bambou qui lui semblait l’arbre le


plus beau de toutes les plantes de son jardin. Au fil des années, ce bambou


grandissait, devenait vigoureux et toujours plus conscient de la faveur du


Maître.


Un jour, celui-ci s’approcha de l’arbre et le bambou inclina son faîte respectueusement. Le Maître lui dit:

- Mon cher bambou, j’ai besoin de toi.

Il semblait que le grand jour fut enfin arrivé, le jour pour lequel le bambou avait été créé. Le bambou répondit donc d’une voix douce

- Maître, je suis prêt. Fais de moi ce que tu voudras.

- Bambou, ajouta le Maître d’une voix solennelle, pour me servir de toi il faut que je te coupe.

- Me couper moi que tu considères comme la plus belle parure de ton jardin, non ne fais pas cela !

- Mon cher bambou, répondit le Maître, si je ne te coupe pas, tu ne sers à rien.

Le jardin se fit calme; le vent retint son souffle, le bambou inclina sa tète doucement et puis lui murmura:

- Maître, puisque tu ne peux m’utiliser sans me couper, alors je suis prêt, arrache-moi!

- Mon cher bambou, il me faudra t’enlever toutes les branches et toutes les feuilles.

- Ah ! non, pas cela, détruis ma beauté, mais laisse-moi mes rameaux de feuilles.

- Si je ne te les enlève pas, je ne peux pas t’utiliser.

Le soleil se cacha, un papillon s’envola et le bambou, tremblant à l’idée de ce qui allait lui arriver, dit dans un souffle :

- Maître, enlève les rameaux et les feuilles.


- Bambou, dit encore le Maître, il faudra te faire autre chose: Je te couperai par le milieu et je t’enlèverai le cœur. Si je ne le fais pas, tu ne sers à rien.

- Oui, Maître: arrache le cœur et découpe.
Alors le Maître du jardin arracha le bambou, coupa ses rameaux et toutes ses feuilles, le tailla en deux sur toute sa longueur et lui enleva le cœur.

Puis, il le transporta près d’une source d’eau fraîche et scintillante au milieu des champs desséchés. Il déposa le bambou soigneusement sur le sol; il posa l’une des extrémités du tronc sous la source tandis que l’autre atteignait le sillon d’arrosage dans le champ.

La source chanta sa joie, l’eau claire bondit à travers le corps déchiqueté du bambou jusque dans le canal et se mit aussitôt à abreuver les champs assoiffés. Puis on repiqua le riz et les jours s’écoulèrent. Les pousses grandirent et ce fut bientôt le temps de la moisson. C’est ainsi que le bambou, autrefois si majestueux, devint dans son humble état de débris, une grande bénédiction.

Quand il était encore grand et beau, il ne poussait que pour lui-même et se réjouissait de sa beauté. Mais dans son brisement, il était devenu un canal dont le Maître se servait pour faire fructifier son Royaume.

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