A jamais libres......
UN BLOG POUR DES FEMMES ECRIT PAR DES FEMMES..... SOYEZ TOUTES LES BIENVENUES ! QUE DIEU VOUS BÉNISSE A LA LECTURE DE CES PAGES . MERCI DE LAISSER VOS COMMENTAIRES. A & E
PLAIDOYER
CE DONT NOUS AVONS
BESOIN…
*************************************************************
Ce dont nous avons besoin en ce siècle,
C’est de femmes….
De femmes qui ne se vendent pas,
De femmes sûres, vraies jusqu’ au fond du cœur,
De femmes qui craignent Dieu et haïssent la cupidité,
De femmes dont la conscience est invariable comme la boussole,
De femmes qui défendent la justice, même si le ciel et la terre tremblent,
De femmes qui disent la vérité en regardant le monde et l’enfer en face,
De femmes qui ne se vantent, ni ne se dégoûtent de rien,
De femmes qui ne soient ni lâches, ni fanfaronnes,
De femmes animées d’un courage tranquille,
De femmes dont la vie spirituelle est
calme, profonde et puissante comme un grand fleuve,
De femmes jalouses de l’honneur de DIEU,
et qui ne font aucun cas des applaudissement,
De femmes que les limites sectaires n’arrêtent pas,
De femmes dont la force ne faiblisse pas
avant que le jugement soit établi sur la terre,
De femmes qui connaissent leur mission
et qui la remplissent,
De femmes qui comprennent leur message
et le délivrent,
De femmes qui soient à leurs affaires,
De femmes qui ne soient ni trop
paresseuses pour travailler, ni trop orgueilleuses
Pour rester dans la pauvreté,
De femmes qui savent en qui elles croient,
De femmes fortes d’une force divine, sages de la sagesse d’en haut,
Et aimant d’un amour divin, amour qui se donne, amour qui ne calcule pas,
EN UN MOT : DES FEMMES DE DIEU !
********
**********************************************************
LECTURE POUR CHAQUE JOUR
CALENDRIER BIBLIQUE " LA BONNE SEMENCE
mardi 7 avril 2015
IL EST ICI !
« Il est ici ! »
Et il a disparu de nos yeux, afin que, rentrant dans notre coeur, nous l’y trouvions. Il s’est retiré, et le voilà, il est ici. – St. Augustin
ll y a quelque chose de si triomphant, si miraculeux… et pour être honnête, de si inhabituel à propos des événements qui se sont produits lors de ce tout premier dimanche de Pâques.
En tant que chrétiens, nous proclamons bravement ‘‘Il EST RESSUSCITÉ’’, sans mettre en doute cet événement qui est un point central de notre foi.
Et pourtant, avez-vous déjà pris le temps de réfléchir un instant combien cela aurait été FOU, et ÉTRANGE, et DÉRANGEANT de suivre Jésus ce jour-là en particulier ?
Pas besoin de chercher plus loin que Jean chapitre 20 où la Bible nous dit que les disciples (les amis les plus proches de Jésus) étaient rassemblés dans une maison « avec les portes et fenêtres fermées à clé » après la mort de Jésus.
Vous êtes-vous déjà demandés pourquoi ils avaient peur ? Je pense que si vous aviez été présents ce week-end à Jérusalem, et que vous aviez également suivi Jésus-Christ, que vous aussi aviez vu votre « promesse », votre leader, votre roi, votre ami se faire clouer au bois, vous aussi vous auriez eu peur.
Peut-être se sont-ils cachés derrière ces portes fermées à clé par peur de ce que feraient les autorités si elles les trouvaient réunis au nom de Jésus.
Ou peut-être encore craignaient-ils d’être identifiés au soi-disant criminel qui avait été violemment exécuté tout juste quelques jours auparavant.
Peut-être que Matthieu, Jacques, Marc et Pierre avaient peur d’être traités de la même manière que Jésus, c’est à dire battu^s et crucifiés pour avoir été hérétiques ou traîtres. Peut-on vraiment les blâmer pour ça ?
À peine deux jours plus tôt, ils avaient dû regarder le Fils de Dieu alors contraint, sous les yeux du plus grand nombre et dans des circonstances particulièrement sanglantes, à marcher jusqu’à Golgotha, Golgotha, un endroit suffisamment proche de la ville pour que tout le monde puisse venir regarder, mais suffisamment loin pour provoquer une souffrance énorme aux prisonniers qui étaient chargés de porter leur propre croix. Jésus, lui-même, dut se rendre au sommet de ce mont.
On se moqua de Lui, Il fut battu et on Lui cracha dessus avant qu’Il ne soit assassiné, et que Sa couronne d’épines tombe de Sa tête lorsqu’Il rendit Son dernier souffle.
Et ils ont regardé. Et les larmes ainsi que la tristesse que nous ressentons aujourd’hui pour la mort de notre Sauveur ne sont pas comparables à l’angoisse de Ses amis ce jour là. Car ils ne connaissaient pas la fin de l’histoire…
Au matin alors qu’ils étaient assis ensemble, remplis de doutes, de questions et de peur, Jésus savait. En fait, la Bible ne nous dit pas que lorsqu’Il vint frapper à la porte il n’était pas en colère ou fâché avec Ses disciples car ils avaient douté et eu peur. Jean 20:19 dit plutôt : « Jésus vint et, debout au milieu d’eux, Il leur dit : ‘Que la paix soit avec vous !’ »
QUE LA PAIX SOIT AVEC VOUS. Quelle magnifique image du Dieu que nous servons. La paix est un don de Dieu. La paix c’est être calme et paisible même au milieu du danger, du découragement et de la désillusion. La mort de Jésus, ainsi que Sa résurrection ont eu pour but de nous offrir cette paix. Pas seulement à cette époque et ou seulement maintenant, mais pour l’éternité.
Mais combien d’entre nous, une fois le week-end de Pâques terminé, retournerons s’enfermer derrière les portes de la peur, du doute, de la culpabilité et de l’incrédulité ?
Puis-je vous encourager ce week-end de Pâques, à regarder autour de vous et à observer la puissance de la résurrection agir quotidiennement au milieu de nous. Bien que le monde soit rempli d’injustices et de découragements, de déceptions, de troubles et de manquements, si vous désirez la voir, vous verrez la puissance de Pâques, la défaite de la mort et la bonté de notre Sauveur à l’œuvre dans tous les domaines de votre vie… Il restaure des mariages, guérit des corps malades, comble des besoins et remplit les églises en accueillant les perdus, en leur permettant de retrouver une famille et, en fin de compte, de trouver la paix.
La paix et la liberté que Jésus a achetées pour nous au travers de Sa mort et de Sa résurrection ne sont pas limitées à un week-end par an dans le calendrier chrétien, c’est un style de vie. Que vous puissiez réaliser ce week-end et pour toujours, que la PAIX est avec vous.
Regardez, Il est ici.
Joyeuses Pâques à vous qui passez par là !.
(Brian Houston)
GÉRER ET DÉPOSER SON STRESS !
Comme le chrétien est dans le monde, il serait faux de croire que la pression du mode de vie à l'occidentale cesse de s'exercer dès la conversion d'une personne.
Par contre, le disciple n'est plus du monde, c'est-à-dire qu'il ne conduit plus son existence selon la mentalité, l'état d'esprit, les façons de faire du monde.
(Jean 17 : 13-19).
Il doit donc apprendre à gérer avec la grâce de Dieu les tensions rencontrées.
- Le stress est présent dans toutes les sphères de la société.
Dans la famille au niveau des couples, il peut être favorisé par la précarité sociale, l'endettement, le chômage mais aussi la pensée individualiste selon laquelle on accepte de moins en moins de considérer les intérêts et les attentes de l'autre. L'accent est mis sur la satisfaction personnelle et immédiate.
(Rom 15 : 2; Phil 2 : 4; 21).
- De même, on laisse se développer un climat de stress qui affecte les enfants.
Ils sont souvent soumis à un rythme effréné à cause de multiples activités dans leur emploi du temps.
Les phrases qui reviennent régulièrement dans les relations avec eux sont "Dépêche-toi !"; "On n'a pas le temps !"; "On verra plus tard".
- Les personnes vivant en situation de monoparentalité sont exposées à des tensions car elles doivent assumer les responsabilités du père et de la mère.
Il est à noter que l'éducation des enfants dans un cadre équilibré n'est pas toujours aisée, à combien plus forte raison pour les parents seuls.
- Les entreprises sont de plus en plus exigeantes en matière de rentabilité, de productivité, d'efficacité, de performances.
Ce mode de fonctionnement qui concernait essentiellement le privé touche maintenant le secteur public.
Les impératifs de plus en plus nombreux exercent une tension réelle à tous les niveaux (employés, cadres, hauts responsables)
- Sur un plan individuel, beaucoup s'affairent à avoir un emploi du temps bien rempli, comme si le fait de prendre son temps équivalait à perdre son temps.
Non seulement les activités sont nombreuses, mais le rythme de vie est élevé.
Il s'agit de faire un maximum de choses en un minimum de temps, comme si l'individu cherchait à combler son vide intérieur par ce mode d'existence.
L'homme tente de rentabiliser ses ressources, son emploi du temps en utilisant de façon active chaque heure, chaque minute, chaque seconde. Il ressent son besoin intérieur de sécurité, de reconnaissance de sa valeur, d'appartenance, de compétence.
- En effet, au travers de la suractivité, l'être humain se sécurise car en étant extrêmement occupé, il a l'impression que sa valeur est reconnue, il se sent appartenir à la société et il prouve ses capacités, ses possibilités.
- Par exemple, l'aîné de la parabole du fils prodigue a travaillé d'arrache pieds, il en a fait plus que les autres car il s'est trouvé encore dans les champs alors que les ouvriers agricoles étaient certainement rentrés avec son père pour fêter le retour du cadet.
Il se stressait par un surcroît de travail pour prouver à son père sa valeur, sa compétence et son appartenance à la famille. Il était en quête de reconnaissance. (Luc 15 : 11-31.)
- Marthe n'a pas su s'arrêter dans son activité. Une version précise le sens suivant : elle s'affairait, elle se laissait absorber. Elle a été préoccupée par le travail et s'est laissée piéger par la nécessité d'accomplir ses tâches, sans prendre du temps avec Jésus. Voir Marie s'asseoir aux pieds du Seigneur pour être enseignée, instruite, éduquée a contribué à la stresser davantage. (Luc 10 : 38-42)
- Marthe démontre clairement que le stress génère de l'agacement, de l'agressivité, amplifie la susceptibilité, l'insatisfaction, la frustration, la culpabilité en fonction des individus.
En effet apparaissent souvent dans le cœur les sentiments de ne pas en avoir fait suffisamment, de ne pas être à la hauteur, de ne pas faire les choses parfaitement, tout ceci étant saupoudré de fatigue, de lassitude morale, spirituelle et physique.
- Bien évidemment, au travers de cette réflexion, il ne s'agit pas de minimiser les nécessités absolues et incontournables rencontrées par la plupart (activité professionnelle, études, charges de famille...)
Seulement, le Seigneur souhaite aider chaque disciple à gérer son contexte afin de le vivre avec le plus d'épanouissement possible.
LA GESTION DU STRESS.
- Notre mode de vie favorise énormément le stress.
Il convient d'essayer de l'éviter quand cela est possible, de le limiter ou d'apprendre à le gérer lorsqu'il est incontournable.
Dans ce but, le Seigneur souhaite nous conduire dans Ses voies au travers de plusieurs points.
a) Prendre conscience que l'on est prisonnier du stress lorsque c'est une réalité.
- Un processus de restauration, d'épanouissement, de libération, des progrès dans une circonstance, une évolution favorable démarrent toujours à partir d'un élément incontournable : il s'agit de reconnaître l'évidence et d'accepter la réalité.
Cela s'appelle l'humilité.
Une personne refusant d'ouvrir les yeux par orgueil sur son stress et sur toutes les conséquences négatives sur sa propre vie comme sur celle des autres est dans l'impossibilité d'envisager un changement bénéfique.
(Prov 15 : 33; 16 : 18; 29 : 23)
.
- Un des principes fondamentaux de la marche avec Jésus consiste à admettre ses défaillances, ses limites, ses incapacités. Il s'agit ensuite de les avouer, de s'en repentir lorsque l'Esprit pousse dans cette direction à cause des péchés engendrés et de les remettre au Seigneur.
- Pierre encourage à manifester l'humilité, à s'humilier devant Dieu et à confier la situation entre les mains de Celui qui est capable d'étendre Son bras bénissant.
(1 Pi 5 : 5-7)
b) Se donner les moyens de rectifier la situation.
- Après avoir été éclairé et reconnu les difficultés rencontrées dans l'humilité, il est essentiel d'agir et de se donner les moyens de gérer correctement le stress.
En effet, on peut reconnaître des réalités sans jamais rien changer à la situation. Pour élargir la réflexion, une personne peut être convaincue de péché sans se repentir. Une autre peut regretter les faits sans changer d'orientation.
(Marc 6 : 17-20);(Jean 12 : 42-43)
- La foi implique toujours une détermination, une volonté d'agir dans le sens montré par le Seigneur. Le mode opératoire divin est son intervention en collaboration avec le chrétien qui doit prendre ses responsabilités.
(1 Cor 3 : 9).
Le croyant a besoin de prendre conscience que Dieu fait Sa part mais qu'il a la sienne à accomplir. (Act 9 : 6).
La réflexion, le recueillement, la méditation dans la prière, le bon sens aident le disciple à décider d'agir dans son organisation en comptant sur la grâce de son Seigneur.
c) Faire le tri entre le prioritaire et le superflu.
- Notre société de consommation nous presse à acheter, à courir après les loisirs, à multiplier les activités, les occupations, à nous attacher au matérialisme.
Il est maintenant devenu courant de confondre le nécessaire avec le secondaire.
Tous les éléments en rapport avec le bien-être, le confort, le profit sont considérés comme indispensables.
Le chrétien peut tomber dans le piège d'avoir les mêmes centres d'intérêts, les mêmes aspirations et les mêmes priorités que le monde.
- Pour éviter un stress inutile, le disciple est appelé à effectuer des choix judicieux conjugués à des efforts pour se concentrer premièrement sur les choses célestes. Mat 6 : 33; Luc 10 : 27; Col 3 : 2.
Gérer efficacement le stress signifie également être capable de changer son emploi du temps, son organisation, son agenda pour se concentrer sur les priorités. Cela peut nécessiter l'abandon d'éléments jugés inutiles ou encombrants pour l'épanouissement de la vie chrétienne.
Jer 15 : 19; 1 Cor 6 : 12; 10 : 23.
d) Se réfugier dans le repos de la foi.- Héb 4 : 9-11 :
Ce texte évoque la réalité du repos de la foi expérimenté par le chrétien habitué à se réfugier dans la présence de Dieu pour s'y abandonner.
En effet, il est essentiel pour le disciple de valoriser des temps de communion avec le Créateur par la lecture et la méditation de la bible, la prière.
Les relations fraternelles, l'engagement dans un service ou ministère sont aussi des activités indispensables.
Plus l'intimité avec Jésus est développée, plus Ses sentiments envahissent le cœur du chrétien et s'y répandent.
Ce-dernier fait alors l'expérience de la paix, du repos, de la quiétude, du calme intérieur même au milieu de l'agitation extérieure.
Ps 4 : 9; 23 : 4; Act 12 : 6; 16 : 25; Phil 2 : 5.
- Le repos et la paix du Seigneur sont donnés en réponse à la prière.
Mat 7 : 7-11; Jean 14 : 27; Rom 15 : 13; 1 Jean 5 : 14-15.
Ils sont également communiqués lorsque le disciple adopte un mode de vie agréable à Dieu en recevant Sa Parole et en marchant dans Ses voies
(image du joug) Mat 11 : 28-30.
Ainsi, l'abandon dans la foi est une arme efficace pour dompter le stress inévitable dans certaines situations. Cette capacité est donnée à celui qui opte pour une intense relation vivante avec le Sauveur.
Dans ces conditions, l'homme a la faculté de gérer des activités nombreuses avec des responsabilités. Joseph a surmonté les différentes périodes de sa vie avec succès et a assumé un rôle important car il aimait l'Eternel. Gen 39 : 9.
- Daniel, haut fonctionnaire du royaume babylonien, dégageait du temps dans la prière même avec un emploi du temps certainement chargé. Sa vie fut marquée par le calme, la confiance, la paix. Dan 6 : 10.
e) La sécurité intérieure.
- Nous avons évoqué les besoins humains de reconnaissance de la valeur, des compétences, et l'importance du sentiment d'appartenance. La multiplication des activités ne répondent pas de façon satisfaisante à ces besoins. Par contre, ils sont pourvus par le Seigneur qui atteste de notre valeur :
Es 43 : 4; Zach 2 : 8, donne des capacités : Ex 35 : 32; 2 Cor 3 : 5; Heb 13 : 21 et garantit notre appartenance à Sa famille au travers de la conversion : Jean 1 : 12; Rom 8 : 16.
Philippe LANDREVIE
mardi 13 janvier 2015
DELIVREE DE LA PEUR
Comment identifier nos peurs et surtout les vaincre ?
La nature de la peur est de nous tromper par de fausses impressions ou apparences.
Quand nous avons peur, nous sommes vulnérables à l’exploitation, à la manipulation, à la déception et au contrôle.
L’ennemi le sait bien et l’utilise pour son avantage.
En apportant nos peurs à la croix, par le pardon et l’affirmation de la vérité.
en permettant à Dieu de nous encourager et de nous fortifier dans nos faiblesses par sa puissance et sa présence.
En nous engageant à agir dans la foi et la confiance en Dieu, en son caractère, en sa voix, et en sa parole.
La peur ne vient pas de Dieu
2 Timothée 1.7 Dieu nous a donné un Esprit qui, loin de faire de nous des lâches, nous rend forts, aimants et réfléchis.La peur est une conséquence du fait que nous ne connaissons pas suffisamment Dieu et sa parole et que nous ne comprenons pas quel est son caractère.
Matthieu 14.30-31 Mais quand il remarqua combien le vent soufflait fort, il prit peur et, comme il commençait à s’enfoncer, il s’écria : Au secours ! Seigneur! Immédiatement, Jésus lui tendit la main et le saisit. Ta foi est bien faible ! lui dit-il, pourquoi as-tu douté ?
Reconnaître la peur
Voici différents types de peurs.Sous chaque types se trouve une liste de symptômes qui vous aideront à identifier vos peurs.
La crainte suppose la perspective d’un châtiment.
L’amour de celui qui vit dans la crainte n’est pas encore parvenu à sa pleine maturité.
Esaie 51.7 Ecoutez-moi,vous qui savez ce qui est juste. O peuple, toi qui portes ma Loi au fond du coeur, ne crains donc pas les injures des hommes, que leurs outrages ne t’ébranlent jamais !
peur de ce que les gens pourraient dire sur nous
peur d’être rejetés par nos proches
peur des autorités
peur de dire quelque chose
peur de l’infériorité (La peur d’une personne qui se compare aux autres vient de ce qu’elle ne croit pas que Dieu l’a créée avec une destinée propre de grande valeur.)
peur de la confrontation
peur de l’échec
Peur de l’insécurité
....
Peur que Dieu ne soit pas digne de confiance ; qu’il n’arrive pas à accomplir ses plans à travers nous
peur d’être incapable de répondre à l’appel de Dieu
peur de prendre un engagement parce que cela pourrait nous fermer d’autres portes
peur de faire équipe avec d’autres chrétiens et de s’engager avec eux
peur de s’engager à prier pour quelqu’un ou quelque chose
peur de s’engager dans une église
peur de la persécution
peur d’être perçus comme extrême ou fanatique
peur de payer le prix de suivre Jésus
peur de l’action du Saint-Esprit
peur que les promesses de Dieu ne se réalisent pas
Peur de l’échec
ect....
La peur agit contre notre foi et peut parfois contribuer à ce que les choses que nous craignons s’accomplissent; comme une sorte de prophétie qui s’accomplit elle-même.
Psaume 112.6-8 Car rien ne pourra jamais l’ébranler, on se souviendra pour toujours du juste. Il n’a pas à craindre les bruits malveillants. Son coeur est tranquille :il s’appuie sur l’Eternel.
Ferme sur ses positions,il n’a point de crainte, à la fin,il peut regarder en face tous ses ennemis.
.....
peur des conflits
peur de recevoir des mauvaises nouvelles
peur de vivre des temps difficiles
peur d’une montée de mouvements anti-chrétiens
peur qu’un membre de notre famille soit blessé ou tué
peur que notre situation financière s’aggrave
toujours craindre le pire même s’il n’y a aucune raison
Peur que notre passé soit connu (et des conséquences possibles)
Proverbes 3.24-25 Quand tu te coucheras, tu n’éprouveras aucune crainte, et ton sommeil sera paisible, tu n’auras pas à redouter un désastre imprévu, ni la ruine qui ne manquera pas de fondre sur les méchants, car l’Eternel sera ton assurance, il gardera ton pied de tout piège.
Nous devons reconnaître que derrière nos peurs se trouvent des mensonges.
Le problème n’est pas la situation potentielle.
Le problème est le mensonge que nous croyons au sujet de la capacité (ou de l’incapacité) de Dieu de nous protéger, nous fortifier, nous équiper pour n’importe quelle situation et de pourvoir pour nous.
La crainte attriste le coeur de Dieu car elle nie le fait que Dieu pourvoit à nos besoins et prend soin de nous. La crainte alimente l’incrédulité envers Dieu, son caractère, sa parole et sa puissance.
Nous pouvons demander à Dieu de mettre en lumière en nous la peur sous toutes ses formes, aussi là où nous n’en sommes pas encore conscients.
Cela peut s’avérer très utile de demander à une autre personne de prier avec nous.
Nous devons renoncer à la peur et à l’incrédulité au nom de Jésus et repousser l’ennemi en invoquant le nom de Jésus.
Cela ne suffit pas de confesser nos peurs. Nous devons les confronter avec détermination, recevoir l’amour de Dieu, nous baser sur ses promesses et remplacer l’incrédulité par la confiance en la parole de Dieu et en sa fidélité.
Alors que nous grandissons dans notre désir et notre capacité de vivre libre de nos peurs, nous allons devoir faire face à des domaines dans lesquelles nous avons peu ou pas d’expériences préalables.
Cet écart peut être franchi si nous ne regardons pas les limites de nos capacités, mais si nous faisons des pas de foi pour accomplir ce que Jésus nous a demandé de faire.
Alors que la confiance grandit, les peurs diminuent !
Faisons alors les déclarations suivantes :
Je veux renoncer à la peur, à la crainte et au doute, et je veux les remplacer par la foi et la confiance en la parole de Dieu, son caractère et sa puissance.Je ne veux pas vivre seulement par ce que je vois, par ce que je perçois par mes cinq sens et par mes réactions émotionnelles, mais par la parole de Dieu et ses promesses.
Je veux toujours chercher à honorer Dieu et à ne pas porter atteinte à sa réputation ni à celle de ceux qui vivent par la foi et dans l’obéissance envers lui.
Je veux passer plus de temps à lire la parole de Dieu afin que je puisse mieux connaître l’œuvre de Dieu, son caractère et ses promesses.
Je veux apprendre à écouter sa voix et à agir en conséquence.
Je ne veux pas vivre dans la rébellion contre Dieu et je ne veux pas craindre les conséquences de mon obéissance envers lui.
Je ne veux pas cacher un esprit incrédule et critique sous le masque de la prudence, du réalisme ou du discernement.
Je veux faire des pas de foi courageux et servir les autres comme Jésus a servi.
Je veux vivre et servir avec confiance en utilisant l’autorité que Jésus m’a déléguée.
Je ne veux pas craindre l’action surnaturelle du Saint-Esprit et ne pas me révolter contre ce qu’il fait.
Je veux développer une culture de foi autour de moi, en commençant par ma famille, mon ministère, mon église et mes amis.
mardi 6 janvier 2015
A celui qui vaincra......
A VOUS TOUTES QUI PASSEZ PAR LA ...
NOUS SOUHAITONS
mercredi 17 décembre 2014
NOËL QU'EST-CE POUR TOI ?
Une fête d'autrefois,
Un jour rempli de cadeaux
Ou de Dieu, un immense cadeau ?
Pour moi, c'est plus qu'un anniversaire,
C'est le retour de Dieu sur terre
La joie de l'amour de notre Dieu,
Le cadeau qui nous ouvre les cieux.
C'est plus que la couronne de l'Avent
Plus qu'un Dieu qui vient en s'humiliant ;
C'est un Dieu pur qui face à nous
Prouve que Son fardeau est doux.
C'est l'exemple parfait du pardon,
Le merveilleux cadeau de la réconciliation,
Un appel à pardonner et à aimer.
Tu as le choix, c'est à toi de décider !
Tu peux toujours rester sur un banc d'église,
Le temple est rempli de personnes qui restent assises ;
Mais n'oublie pas que tu as encore à faire un choix.
C'est la mort qui t'attend si tu ne te décides pas.
Ne trouves-tu pas que ce serait trop bête,
Si pour te décider, tu attendais la fin de la fête ?!
Viens, joins-toi à nous, participe avec nous ;
Et tu verras que son fardeau est vraiment doux.
Engage-toi pour ton Dieu,
Et ne fais pas simplement le pieux.
Aie le courage de tes convictions.
Et quel que soit ton âge, prends cette résolution :
« Il est Noël, temps de l'amour de Dieu,
Alors maintenant je décide en ce lieu
De ne plus simplement rester bloqué dans la glace,
Mais de me lever pour prendre ma place.
Je ne veux plus simplement dire que j'ai la foi ;
Mais pardonner et aimer comme me le demande mon Roi.
Je désire suivre l'exemple qu'Il me laisse en ce jour
En apportant aux autres le salut de cet immense Amour »
Bouge-toi un peu et tu verras Dieu agir.
Tu comprendras à quel point Dieu peut te bénir ;
Et tu auras toujours plus envie de te bouger pour Lui,
Car tu sauras quelle est encore la puissance de Dieu aujourd'hui.
Viens mon ami, décide-toi maintenant
Ne reste plus à assister simplement ;
Prends les choses en mains
Ne reste plus assis sur ton chemin.
Viens, Noël est là maintenant,
Viens ; Jésus-Christ t'attend.
mardi 9 décembre 2014
NE PERDEZ PAS ESPOIR !
Peu de gens réalisent la puissance de l’espoir.
L’espoir est une vertu, une force psychologique et spirituelle subtile, mais puissante. C’est l’espoir qui nous amène à ne pas lâcher malgré l’âpreté de notre peine.
Au plus profond de leur désolation et malgré la douleur et la souffrance, ils aspirent toujours à un dénouement, au retour de la vie.
C’est l’espoir qui les maintient.
Il nous aide à continuer malgré tout, à ne jamais lâcher et ce, peu importe les défaites ou les échecs.
L’espoir d’avoir cette promotion au travail
L’espoir de voir nos rêves se réaliser
L’espoir de voir un problème particulier se dénouer.
« L’espoir, c’est être capable de voir qu’il y a la lumière malgré les ténèbres. » Desmond Tutu
Dostoïevski écrivait judicieusement que « Vivre sans espoir, c’est cessé de vivre ».
Il nous permet d’anticiper ce que nous désirons ardemment et de prendre les moyens d’y arriver.
Un futur proche comme dans une heure ou dans une journée, ou un futur éloigné comme dans une année ou dans 10 ans.
L’espoir anticipe les événements et donne du mouvement à nos vies.
L’espoir regarde toujours en avant et jamais en arrière.
Quelqu’un a dit que l’espoir est comme un phare.
L’espoir (l’espérance), comme l’amour et la foi, est une des trois vertus théologales du Nouveau Testament (1 Cor. 13 :13).
L’auteur de la lettre aux Hébreux insiste sur l’importance de cette vertu lorsqu’il dit :
« Cette espérance, nous la possédons comme une ancre de l’âme, sûre et solide. » Héb 6 :19
Dante a écrit sur le panneau qui est suspendu à l’entrée des enfers: « Vous qui entrez ici, abandonnez tout espoir ».
Il y a une histoire étonnante racontée par Luc dans son évangile (Ch. 24 :13-21).
Tout au long du chemin, ils s’entretiennent sur les derniers événements reliés à la mort de Jésus et en sont tout tristes.
Plus près qu’Il ne l’a jamais été.
Le drame ou les déceptions arrivent, nous submergent et nous perdons confiance sans réaliser que Jésus est toujours là près de nous et marche à nos côtés sur le chemin de la vie.
Peut-être qu’en ce moment, vous vous posez la question à quoi sert-il d’entretenir l’espoir devant telle situation ?
À quoi sert-il de vivre après tant de déceptions ?
Ne vous laissez pas aller à envisager de sombres scénarios.
mardi 25 novembre 2014
LA PUISSANCE DE NOS PAROLES
Le livre des proverbes met en évidence 150 versets, à ce sujet.
" La vie et la mort sont au pouvoir de la langue " ( Prov 18/21 )
( un encouragement qui nous a propulsé vers une destinée, ou une parole de mort dite dans notre enfance par exemple, qui nous a détruite...)
" Tel parle légèrement, blesse comme un glaive, mais la langue des sages apporte la guérison " ( Prov 12/18 )
Ce que l'on dit à la personne , mais que l'on ne dirais jamais dans son dos...la flatterie, non sincère.
Elle est différente bien sûr de l'encouragement , soyons sincère dans nos paroles ..
( souvent déguisées par : " moi, à sa place, j'aurais fait ceci ou cela..." )
Certains ou certaines auraient eu des comportements différents simplement s'ils ou elles avaient entendues être simplement aimé(e)s ..
(" Je suis fière de toi ")
4 antidotes aux paroles de mort :
( même si nous ne le constatons pas dans l'immédiat )